A méditer pour l'Agility
ScienceDaily (Feb. 1, 2011)

http://www.sciencedaily.com/release...

les performances des équipes maîtres-chiens renifleur d'explosifs et de drogues sont affectées par la gestion des convictions de l'homme, peut-être en réponse à la gestion de subtiles indices non intentionnels, indique une étude faite par des chercheurs de UC Davis.
http://www.ucdmc.ucdavis.edu/welcom...
Animal Cognition de janvier 2011 L'étude, publiée dans le numéro de Janvier de la revue Animal Cognition, constate que les équipes "maître-chien de détection" ont à tort désigné ou identifié une odeur, quand il n'y avait aucune odeur présente plus de 200 fois - en particulier lorsque le maître estimait qu'un parfum était présent .
"Ce n'est pas seulement sur la façon dont est formé un chien ou la sensibilité de son nez. Il y a des facteurs cognitifs qui affectent l'interaction entre un chien et un "gestionnaire" qui peuvent affecter les performances du chien", a déclaré Lisa Lit, un post-doctoral dans le département de neurologie et auteur principal de l'étude. Ces facteurs pourraient être aussi importants - sinon plus - que la sensibilité du nez d'un chien".
Pour évaluer les effets des convictions et des attentes des maîtres sur les performances de détection d'un chien, les chercheurs ont recruté 18 équipes de détection maître-chien d'organismes officiels. Toutes les équipes étaient certifiées soit pour la détection des drogues, la détection des explosifs ou les deux (détecteurs de drogues et d'explosifs).
Les chiens ont été formés à alerter passivement l'emplacement d'un parfum par assis ou couché; à alerter activement par ses aboiements, ou en faisant les deux. Les équipes comprenait 14 mâles et 4 femelles (labradors, malinois, bergers allemands et hollandais, autres chiens de berger). L'expérience des chiens variait de deux à sept ans. Leurs partenaires "homme" avait pas moins de 18 ans d'expérience comme maître-chien.

voir l'étude en anglais en annexe ou en suivant le lien :
http://www.springerlink.com/content...
La conclusion :

"Il est important de reconnaître que ces résultats n'ont pas atténué les capacités de ces équipes maître-chien à exécuter avec succès leurs taches. Nos données, ainsi que nos résultats précédents et ceux des autres chercheurs, continuent de souligner que de nombreux facteurs cognitifs peuvent influer sur les gestionnaires, les chiens et le couple gestionnaire-chien. D'autres recherches sont nécessaires pour caractériser ces facteurs sur les chiens de travail et d'optimiser les performances des gestionnaires (conducteurs). Également un autre point important, la sensibilité des chiens aux indices sociaux comme le suggère cette étude montre le potentiel pour développer de bons modèles pour l'étude du comportement social. "

  • Lisa Lit a récemment terminé l'Autism Research Training Program à l'Institut UC Davis MIND Institute. En plus des études de la façon dont on peut influer sur le rendement de travail du chien, elle est actuellement engagée dans la recherche sur le développement neurologique et les troubles neurologiques, et enquête sur le chien qui pourrait servir de modèle animal pour des comportements sociaux relatifs à ces troubles.
  • Parmi les autres auteurs de l'étude Julie Schweitzer, professeur agrégé de psychiatrie et sciences du comportement, et
  • Anita M. Oberbauer, président du département des sciences animales, également à UC Davis.
Source du billet :

L'histoire ci-dessus est tirée (avec quelques adaptations rédactionnelles par le personnel ScienceDaily et moi-même) à partir de documents fournis par : University of California - Davis Health System.

Traduction partielle et résumé : Joel Kuhlmann
Adaptation rédactionnelle française : Joel Kuhlmann
Référence du Journal :
  • Lisa Lit, Julie B. Schweitzer, Anita M. Oberbauer. Handler beliefs affect scent detection dog outcomes. Animal Cognition, 2011; DOI: 10.1007/s10071-010-0373-2

http://www.springerlink.com/content...