Felálló-Fülű Pumi Kennel Klub - Felálló-Fülű Пуми клуб

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dimanche, juillet 28 2013

Les Pumis votent pour "A World you like with a climate you like"

logo_europa A World you like with a climate you like

Soutenez par vos votes un projet pour la lutte contre le changement climatique.
http://world-you-like.europa.eu/fr/

269 projets liés à la réduction des émissions de carbone ont été présentés! 269 initiatives qui nous rapprochent d'un monde que nous aimons, et du climat qui va avec. Quel est votre projet préféré? Votez sans plus attendre!
Le premier projet français (de Brest...vive les Bretons!) arrive actuellement en 19ème position (Compte Épargne CO2) et le premier projet estonien (Eco-friendly art and fashion) est en 201ème position.
Le site de l'artiste Kätlin Kaljuvee qui présente ce projet estonien est : http://www.katlinkaljuvee.com/, et sa page Facebook https://www.facebook.com/artistkatl....

http://world-you-like.europa.eu/fr/...

Article écrit par  Emilie Binois, sur le projet français Michelin

http://www.autoactu.com/

Dans le cadre de la campagne "A World you like with a climate you like" créée par la Commission européenne, des projets concourent pour obtenir un award et un soutien médiatique. Le Challenge Bibendum Michelin fait partie des projets en lice.

La campagne "A World you like with a climate you like" a été créée par la Commission européenne pour encourager et mettre en lumière des initiatives européennes contribuant à éviter ou réduire les émissions de CO2. Cette année, la Commission a ainsi présélectionné 269 projets et initiatives ayant un impact sur la vie quotidienne des Européens dans plusieurs secteurs : la construction, l’alimentation, le recyclage, les transports et les productions innovantes. Ces projets sont maintenant soumis aux votes des Européens sur un site Internet dédié. Des awards seront remis aux trois finalistes le 7 novembre prochain à Copenhague, au Danemark. Pour le finaliste, cette cérémonie est surtout l’opportunité de mettre en lumière son initiative à travers l’Europe. A noter que parmi les 269 projets présélectionnés, la seule initiative française émanant du secteur automobile est celle du Challenge Bibendum Michelin. Le Challenge Bibendum réunit des experts du monde entier pour progresser en matière de mobilité routière durable. Cet évènement international combine des tests et des évaluations techniques à des rallyes et des conduites d’essai pour déterminer les progrès réalisés en matière de véhicules, d’énergies et de technologies. Vous avez jusqu’au 19 août prochain pour voter en ligne pour l’initiative de votre choix.

jeudi, juillet 11 2013

Des vendeurs de Castorama frappent et gazent des clowns anti Roundup

Amis désobéissants,

notre campagne (avec le collectif Roundup non merci) pour l'interdiction du Roundup vient de prendre une tournure tragique : pour la deuxième fois, mais plus gravement encore que la première fois, des militants ont été agressés par des vendeurs de Castorama sous les yeux de leur direction.

Nous avions déjà porté plainte pour agression contre 2 d'entre nous il y a deux mois, et pour une caméra cassée. Une deuxième caméra vient d'être cassée, et 4 militants ont été brutalisés : strangulation, coup de poing, deux coups de boule, et de l'insecticide dans les yeux pour l'un d'entre eux...

Comme la fois précédente, des policiers ont tenté de nous convaincre de ne pas porter plainte, puis ont d'abord refusé d'enregistrer une partie de nos plaintes. C'est justement ce que souligne ce matin le rapport de l'Inspection Générale de l'Administration !!!

Nous avons besoin de vous :

1. Regardez et faites circuler notre vidéo (facebook, twitter, mails, blogs,journalistes...) s'il vous plait : http://www.dailymotion.com/video/x1...

2. Publiez un message sur le forum de Castorama. Par exemple demandez-leur pourquoi ils continuent à vendre un produit toxique comme le Roundup. http://www.linternaute.com/bricolag...

3. Appeler Castorama pour savoir pourquoi ils continuent à vendre du Roundup alors que ce produit est cancérigène et toxique pour l'environnement : 0 810 104 104 (service client). Demandez-leur au passage ce que la direction centrale compte faire avec les voyous du Castorama La Défense, où se sont chaque fois produites les violences. Ne pas hésiter à rappeler pour obtenir une réponse satisfaisante, demander à parler à un responsable, etc. Tenez nous au courant, et pourquoi pas, enregistrez les conversations... ça peut toujours servir !

4. N'achetez plus chez Castorama. Si vous avez Facebook, un évènement a été créé: http://www.facebook.com/events/4948...

5. Menez des actions directes non violentes contre Castorama, mais aussi Tridôme, Leroy-Merlin et autres vendeurs de Roundup. Nous pouvons vous aider à trouver des gens motivés pour agir avec vous dans votre région, si vous nous adressez un mail : manifeste@desobeir.net Pour vos actions, nous avons créé des autocollants qu'on peut coller... où vous pensez que ça les dérangera le plus ! Ils sont achetables ou téléchargeables là : http://www.roundup-non-merci.fr ou là : http://www.la-boutique-militante.co... Les autocollants achetés et utilisés en action sont remplacés gratuitement sur simple envoi d'une photo de l'action !!!

6. Signez et faites signer la pétition en ligne sur le sujet : http://www.change.org/fr/p%C3%A9tit...

7. Soutenez nous financièrement : nous avons besoin de remplacer les caméras, notamment, et de payer les avocats des futurs procès suite à nos plaintes, ainsi que la constitution de partie civile. Vous pouvez envoyer vos chèques à l'ordre de CAMPAGNE M51 (au dos marquez "roundup") à l'adresse des désobéissants : Les désobéissants c/o Librairie Résistances 4 Villa compoint 75017 Paris

Si vous préférez payer en ligne, il est possible de faire un don là : http://www.desobeir.net (l'onglet "faire un don" se trouve en bas de la page à gauche)

Il est aussi possible de nous soutenir régulièrement (ce qui donne droit à réductions fiscales), en nous envoyant un mail à manifeste@desobeir.net pour recevoir nos coordonnées bancaires.



Merci pour la vie !

http://www.desobeir.net

lundi, juillet 8 2013

Pumis à adopter en Allemagne

Environ 20 Pumik d'une personne qui n'est pas un éleveur FCI ont "atterri" dans un refuge pour animaux, en Allemagne !
Trois d'entre eux sont encore dans un abri à Bielefeld (Allemagne)

Tierheim Bielefeld Tel. (0 52 05) 9 84 30

Nena, pumi à adopter en Allemagne - juillet 2013
http://www.wdr.de/tv/tieresuchenein...

NENA

Femelle pumi, âgée de 10 mois seulement, gris, vaccinée et micropuce. Nena provient d'un "élevage" de reproduction de 20 Pumis, dont six (maintenant 3 NDLR) sont actuellement à la recherche d'une nouvelle maison. Tous les chiens ont déjà vécu sur un grand espace extérieur et, évidemment, ne savent pas grand-chose. Au refuge, ils apprennent leur nouvel environnement, mais ont encore très peur. Comme ils n'ont jamais connus la laisse et le collier, elles recoivent des leçons d'éducateurs canins sur un terrain clos sécurisé. Nena se développe très bien et fait des progrès tous les jours pour mener la vie d'un chien "normal". Les étrangers sont déjà chaleureusement accueillis par elle et elle commence à faire confiance.

mercredi, juillet 3 2013

La France et l'écologie

France Delphine Batho, hier mardi 2 juillet, a été débarquée de son ministère. Tout est allé très vite.
Ce week-end, elle apprenait que le budget dédié à l’écologie était en diminution de 7%. Hier matin, sur RTL, elle estimait que le budget 2014 était « mauvais », puis, recevait, dans l’après-midi, une convocation à Matignon. François Hollande, « sur proposition du Premier ministre » a mis fin à ses fonctions.
C’est le député socialiste du Gers Philippe Martin qui devient ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.

Interview de Delphine Batho réalisée en août 2012 par Terraeco

http://www.terraeco.net/
Delphine Batho

Nous sommes en mai 2017. Après cinq ans de « transition écologique », comment imaginez-vous la France ?

Je l’imagine comme un des pays les plus avancés au monde en termes de reconquête de la biodiversité. Je l’imagine ayant mené une grande politique de sobriété énergétique, vertueuse pour la lutte contre le changement climatique, mais aussi pour le pouvoir d’achat et l’emploi, traduisant ce que doit être l’écologie sociale et concrète. Je l’imagine engagée sur de bons rails pour étendre les énergies renouvelables et ayant développé des savoir-faire, des technologies et des filières industrielles dans ce domaine.

Tout cela est-il possible ou va-t-il falloir choisir ?

C’est possible. C’est l’objectif de la mutation écologique qu’il faut accélérer. On est dans une situation de crise qui se durcit. Ça ne doit pas conduire à se dire que l’écologie, c’est pour plus tard. Au contraire, les choix qui conduisent à relocaliser notre production industrielle, à réorganiser nos modes de production et nos modes de vie participent d’une croissance sélective, intensive en emplois. Les choix de court terme doivent être cohérents avec les enjeux à plus long terme, surtout face au changement climatique et à la raréfaction des ressources.

Pendant la campagne, François Hollande avait déclaré à Terra eco qu’il fallait au gouvernement un n° 2 chargé du développement durable, « un ministre au large champ : celui de l’énergie, des transports, du logement, des grandes infrastructures et capable d’avoir prise sur les questions fiscales ». Aujourd’hui, ces fonctions sont réparties entre plusieurs ministres. L’ambition est-elle revue à la baisse ?

Non. Ça veut dire qu’on l’organise différemment. Tout n’est pas concentré dans un seul ministère mais il y a eu un choix très fort : rassembler l’écologie et l’énergie, ce qui n’était pas le cas durant les dix-huit derniers mois du gouvernement précédent. Les trois derniers mois, il n’y avait même plus de ministre de l’Écologie ! Ce qui prévaut dans l’organisation du gouvernement, c’est l’esprit d’équipe. C’est aussi la volonté de passer à l’acte. C’est l’objectif de la conférence environnementale des 14 et 15 septembre.

Ce n’était pas le cas du Grenelle ?

La méthode de concertation du Grenelle est un acquis. Il y a eu des avancées, mais le Grenelle a été enterré lorsque Nicolas Sarkozy a dit : « L’environnement, ça commence à bien faire. » Et puis les sujets difficiles avaient été évacués, il y avait un manque de lisibilité des priorités. Faute de moyens, il y a eu une traduction surtout règlementaire. Avec la conférence environnementale, nous voulons nouer un nouveau partenariat écologique et inscrire notre action dans la durée. La conférence sera annuelle. Ce n’est pas juste un moment fort et derrière des déceptions. C’est la volonté d’un travail sérieux et concret sur le quinquennat. Et nous avons deux priorités claires : la transition énergétique et la biodiversité.

Cette conférence sera, dit-on, celle de la méthode…

Sur la transition énergétique, oui, et je l’assume. C’est là que nous allons fixer les règles du débat national qui s’engagera à partir de cet automne et qui débouchera à la fin du premier semestre 2013 sur un projet de loi de programmation pour la transition énergétique. Il s’agit d’avoir un grand débat démocratique avec toutes les parties prenantes : les ONG, les syndicats de salariés, les entreprises, les élus, les experts et les scientifiques, et surtout avec les citoyens. Ce débat doit permettre la participation de tous, et il s’organisera de façon décentralisée. Il s’agit de faire des grands choix pour l’avenir de la nation, mais aussi de favoriser un changement culturel, une modification des comportements.
Les enjeux de la politique de l’énergie sont considérables – impact sur le changement climatique, pour l’indépendance de la France et sa sécurité d’approvisionnement, pour le déficit de la balance commerciale et la compétitivité de notre économie –, et ce débat n’éludera aucun de ces aspects. Mais, à mes yeux, la priorité numéro un, c’est la sobriété et une grande politique d’efficacité énergétique. Sur les énergies renouvelables, nous définirons aussi des règles du jeu stables pour la durée du quinquennat. Ces dernières années, les changements incessants des règles, tarifs de rachats, moratoires et autres, ont profondément déstabilisé les entreprises. La France a pris du retard.

Ne craignez-vous pas qu’en choisissant la biodiversité comme thème majeur de la conférence on ressorte l’éternel cliché de la protection des petites fleurs et des paysages ?

Eh bien, vive les petites fleurs et les paysages ! Ce n’est pas ringard et les Français ont au contraire soif de contact avec la nature et toutes ses beautés. Une politique de la biodiversité, ce n’est pas de mettre la nature sous cloche, car la biodiversité c’est, comme me le disait un chercheur, « une bicyclette en perpétuel mouvement et dont il ne faut pas perturber l’équilibre ». C’est pourquoi je préfère la notion de « reconquête » de la biodiversité à celle de « préservation ». Le problème, c’est qu’aujourd’hui, et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on est confrontés à un changement global : la problématique du changement climatique s’ajoute à celle de la perte de biodiversité, avec une interaction très forte entre les deux.

Après le Grenelle, on devait réduire l’usage des pesticides. La consommation a augmenté…

Le plan Ecophyto 2018 prévoyait en effet une réduction de moitié de l’usage des pesticides ; il y a eu une augmentation de 2,5 %. J’ai souhaité que la question du lien entre la santé et l’environnement soit pour la première fois discutée lors de la conférence environnementale dans une approche nouvelle. Le bisphénol, les perturbateurs endocriniens, les pesticides, la pollution de l’air sont des sujets majeurs de santé publique.

Y a-t-il une annonce-phare à attendre de la conférence environnementale ?

Oui. La volonté, c’est de placer le dialogue environnemental au même niveau que le dialogue social. On ne vient pas avec des décisions construites d’avance. Mais, s’il y a aujourd’hui une grande politique à laquelle nous travaillons d’arrachepied avec Cécile Duflot (ministre de l’Égalité des territoires et du Logement, ndlr) pour passer à l’acte dans les prochains mois, c’est celle de l’isolation thermique des logements anciens. Le président de la République s’est engagé sur l’idée qu’il puisse y avoir un million de logements chaque année – la moitié neufs, la moitié anciens – qui correspondent à cette volonté-là. C’est l’exemple même d’une grande politique vertueuse écologiquement, socialement pour le pouvoir d’achat, et économiquement car elle créera ou préservera des emplois dans un secteur économique stratégique, celui du bâtiment et de la construction.

Faut-il créer une filière spécifique ?

Non. On a des savoir-faire, notamment avec l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie, ndlr). Les artisans et les entreprises maitrisent les techniques. Je ne crois pas à l’idée qu’on aurait un déficit de compétences. On doit être capables d’accélérer et de mettre le paquet.

Détaillons les sujets énergétiques. Sur les gaz de schiste, où en est-on ?

La fracturation hydraulique, qui est la seule technique d’exploitation des gaz de schiste, est et restera interdite. En l’état actuel des techniques, les risques pour l’environnement comme pour la santé sont avérés.
Faut-il continuer à rechercher d’autres techniques ?
Ça, c’est la liberté des industriels. Je n’ai jamais soutenu l’idée qu’il ne faudrait pas faire de recherches, quel que soit le sujet. En l’état actuel des choses, il n’a été montré nulle part qu’il pouvait exister des techniques d’exploitation qui ne posaient pas de problème pour l’environnement et la santé. Le jour où la démonstration inverse sera faite, il y aura peut-être un débat citoyen. Pour ma part, je ne crois pas que l’avenir de la politique énergétique, ce soit de nouveaux hydrocarbures. Et je constate, pour le regretter, que l’on parle d’autant plus des gaz de schiste que la perspective d’un accord mondial contraignant sur la lutte contre les gaz à effet de serre s’éloigne. Je souhaite que la France soit en pointe dans la lutte contre le changement climatique.

Au large de la Guyane, Shell réalise des explorations en vue d’éventuels forages pétroliers. Peut-on imaginer autre chose après l’exploration ?

Il y a des explorations, il y a une commission de suivi entre les élus et les associations qui est mise en place. Je ne connais pas le résultat d’avance. Le déficit de la balance commerciale atteint 61,4 milliards, notamment à cause des hydrocarbures. La politique du gouvernement, c’est d’abord de soutenir massivement le développement des véhicules électriques et hybrides. C’est une stratégie qui vise à décarboner le secteur automobile. En attendant que ces stratégies aient abouti, on a toujours besoin de mettre de l’essence dans les moteurs. Si on peut réduire le déficit de la balance commerciale, cela fait aussi partie des enjeux.

Peut-on imaginer un débat public avant l’exploitation de ces ressources  ? Cela peut-il faire partie de la réforme du Code minier  ?

L’objet de la réforme du Code minier est le respect de la Constitution et de la Charte de l’environnement qui prévoit l’information préalable du public sur tous les projets ayant un impact sur l’environnement. S’il fallait s’engager sur une exploitation de la ressource, ce principe fondamental devra être respecté. J’espère que les travaux du groupe de travail piloté par Thierry Thuot, conseiller d’État et ancien rapporteur général du Grenelle, aboutiront à un texte de projet de loi d’ici à la fin de l’année, après toutes les concertations nécessaires.

Quid du nucléaire ?

Sur le nucléaire, la campagne présidentielle a permis de soumettre démocratiquement nos engagements aux citoyens. Il ne s’agit pas de sortir du nucléaire, mais de réduire sa part dans la production d’électricité de 25 points à horizon 2025, en passant de 75 % à 50 %. Sur la durée du quinquennat, nous procèderons à la fermeture de Fessenheim (plus vieille centrale française, dans le Haut-Rhin, ndlr), nous achèverons l’EPR de Flamanville (Manche) et nous n’engagerons pas de projets de construction de nouveaux réacteurs.

Une mesure a été proposée par plusieurs associations : l’arrêt des aides pour l’achat de carburant pour les transporteurs. Cela peut-il faire partie des premières mesures de la transition ?

Sur le secteur de l’aviation, cela ne parait pas possible à court terme au regard de la situation de nos entreprises et du fait qu’elles s’acquittent déjà d’une forme de taxe carbone avec la directive européenne ETS (1). Il faudrait un dispositif mondial comparable qui s’impose à toutes les compagnies. Pour les autres dispositions fiscales, nous en parlerons lors de la conférence environnementale.

On a vu, durant l’été, tous les efforts déployés par le gouvernement pour aider le secteur automobile national. N’est-ce pas incompatible avec ces vœux de transition ?

L’enjeu stratégique, je le répète, c’est le véhicule propre ou le moins polluant possible. Tels que les modes de vie sont organisés aujourd’hui, je crois difficile de se défaire du véhicule individuel, je le dis d’autant plus que je suis élue d’un territoire rural. L’enjeu est d’orienter les consommateurs et les constructeurs vers ces véhicules.

D’eux-mêmes, les constructeurs ne le font pas ?

Ces entreprises privées ont fait des choix stratégiques, ont retenu des plans de licenciements qu’elles avaient sous le coude depuis longtemps. Plusieurs milliards d’euros ont été investis dans l’automobile ces dernières années… pour en arriver là ! Que peut faire la puissance publique ? Outre ce qu’elle doit faire en matière de respect des règles, c’est orienter l’achat, par exemple vers la Mia, fabriquée à Cerizay (Deux-Sèvres), la Zoé, à Flins-sur-Seine (Yvelines) ou encore la 3008, assemblée à Sochaux (Doubs).

Autre débat entre long terme et réalités de court terme : le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes. Comment l’arbitrer à moyen terme ?

Les recours juridiques doivent arriver à leur terme.

Mais cet aéroport s’inscrit-il dans la transition écologique ?

Je vous ai répondu. Respectons l’engagement qui a été pris et la concertation qui a eu lieu localement au début du mois de mai (2). Nous ne sommes pas arrivés au terme de ce processus.

Avez-vous prévu des mesures qui favorisent le « made in France » ?

Oui, avec Arnaud Montebourg (ministre du Redressement productif, ndlr), notre volonté, c’est de favoriser la relocalisation industrielle et de développer les circuits courts à grande échelle.

Ça existe déjà un peu côté alimentaire…

Les démarches qui existent au plan local, notamment dans les cantines scolaires, doivent monter en puissance. Il est dommage d’importer un certain nombre de produits bios parce que la croissance de la demande est largement supérieure à celle de l’offre. Sur les céréales, notamment, on a vraiment des grandes marges de progression. Sur le bio aussi, sur les produits locaux, sur les produits de proximité et de qualité.

Retour en 2017. Vous vous imaginez dans le même bureau ? Le poste a beaucoup changé d’occupant dernièrement…

Je ne sais pas où je serai dans cinq ans. Mais je sais qu’une action efficace a besoin de durée. Je veux réussir des changements en profondeur, remettre en marche ce ministère, qu’il y ait des progrès écologiques irréversibles. Cela fait longtemps qu’il n’y pas eu ce sentiment d’arracher des conquêtes, de franchir des caps. C’est ça, mon objectif, pas mon destin personnel. —

  • (1) « Emissions trading scheme ». Système de quotas carbone lancé en Europe en 2005.
  • (2) L’accord prévoit que «  tous les habitants, exploitants et propriétaires ayant un titre au moment de la déclaration d’utilité publique du 9 février 2008 ne sont pas expulsables tant que les procédures juridiques engagées au Conseil d’Etat, à la Cour de cassation et au Conseil constitutionnel ne sont pas épuisées  ».

En dates

  • 1973 Naissance à Paris
  • 1988 Adhère à SOS Racisme
  • 1994 Adhère au Parti socialiste
  • 2004 Secrétaire nationale du PS chargée de la sécurité
  • 2007 Élue députée des Deux-Sèvres
  • 16 mai 2012 Nommée ministre déléguée à la Justice
  • 21 juin 2012 Nommée ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie
  • 02 juillet 2013 "Virée" du gouvernement par François Hollande!

mercredi, juin 12 2013

On appelle toujours Pumi un pumi, mais on ne sait plus appeler un chat...un chat!

Interview - Terraeco.net
http://www.terraeco.net/Gaz-de-schi...

Pourquoi préférer la dénomination obscure « d'hydrocarbures non conventionnels » au simple « gaz de schiste » ?
  • Réponses avec un spécialiste de la communication environnementale.

Emmanuel Marty, maitre de conférence IUT Cannes Développement « durable » ou « soutenable » ? « Eco-responsabilité » ou « éco-sensibilité »… A peine commence-t-on à parler d’environnement, qu’on ne sait plus appeler un chat un chat. Ou un combustible un combustible. Le 17 mai, avec l’adoption d’un projet de loi transposant six directives européennes dans la loi française, les « biocarburants » ont officiellement été renommés « agrocarburants ».
Sur cette lancée, jeudi dernier, un groupe de parlementaires majoritairement favorables au gaz de schiste préconisait dans un rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) de rebaptiser cette ressource, dont l’exploitation est controversée, par le terme plus général d’« hydrocarbure non conventionnel ». Simple changement de forme, volonté de précisions ou stratégie de communication ? Emmanuel Marty, maitre de conférence à l’IUT d’information-communication de Cannes est l’auteur d’une publication sur la communication environnementale. Il décrypte ce qu’il appelle « les glissements sémantiques » et nous entraine dans l’envers du discours.

  • Terra eco : Agrocarburants, hydrocarbures non conventionnels… ces changements de vocabulaire sont-ils anodins ?

Emmanuel Marty : Absolument pas. Ils sont le résultat d’une lutte d’influence entre les industriels, les militants et les pouvoirs publics pour définir une situation ou aborder un problème. Quand les termes « gaz de schiste » ou « biocarburant » ont fait leur apparition dans le débat public, ils étaient vierges de toute connotation. Aujourd’hui, ils portent une histoire nourrie par les études, les scandales et les controverses qui ont été relayés par les médias et leur sont associés. Au fil des débats et des événements, ils se sont imprimés dans la mémoire collective avec une image souvent négative.

  • C’est pour se débarrasser de ces connotations que les pouvoirs publics décident de les rebaptiser ?

En partie. Lorsqu’on ne peut plus changer les idées véhiculées par un mot, on change le mot. Cela permet de contourner les réflexes de méfiance, de recul collectif que celui-ci peut susciter. Dans le cas du gaz de schiste, le rapport parlementaire présenté jeudi dernier préconise de remplacer cette dénomination par un terme encore neutre et plus englobant. L’expression « hydrocarbures non conventionnels » fait référence à la fois au gaz de schiste mais aussi au pétrole de schiste, aux sables bitumineux… C’est une manière de noyer le poisson. Et puis il s’agit également d’un terme plus technique. La technicité est un autre moyen de masquer de quoi on parle. Pour l’instant, « hydrocarbure non-conventionnel » ne renvoie à rien de concret. Au contraire, l’expression évoque l’innovation et des projets technologiques dont on ne saisit pas le sens immédiatement. Tout cela fait partie d’une stratégie de communication.

  • Pourtant, concernant les agrocarburants, Philippe Plisson, le député PS à l’origine de l’amendement, parle de « mettre fin à une confusion » ?

C’est le cas. L’appellation biocarburant était trompeuse. Ces produits n’ont rien avoir avec l’agriculture biologique. En même temps, le terme biocarburant commençait à être perçu de manière de plus en plus négative. La concurrence d’usage avec l’alimentation, les répercussions sur les populations d’Amérique latine ont été de plus en plus critiquées. Le concept, à l’origine perçu avec bienveillance, s’est terni. C’est peut-être pour dissiper ces critiques qu’on a décidé de le renommer. Mais cela reste une supposition.

  • Dans cette bataille sur le terrain des mots que vous évoquez, qui est le mieux armé ?

Les industriels et les pouvoirs publics. Tous deux ont de gros budgets communications. Dans le milieu associatif, à part Greenpeace, personne ne dispose de tels moyens. La conséquence, c’est que des mots nés dans les champs sémantiques de la science ou du militantisme finissent par leur échapper. Les industriels se les réapproprient. Le meilleur exemple, c’est la notion de développement durable. A l’origine, ce terme est issu de travaux scientifiques mais à force d’être réutilisé, il est devenu tellement ambigu qu’il permet de mettre d’accord en apparence des gens qui ne sont pas d’accord. On peut également mentionner le mot « sobriété » qui vient de la mouvance décroissante et est aujourd’hui allègrement repris par EDF. Les premiers utilisateurs de ces mots-là se rendent compte qu’ils ne les maîtrisent plus et vont en chercher d’autres. Le mot décroissance est sans doute l’un des rares qui échappera à une récupération par le champ économique.

  • Pourtant, personne n’a jamais tenté de changer le mot OGM, qui suscite, lui aussi, son lot de controverses…

Disons plutôt que personne n’a jamais réussi. Il semble qu’il n’y ait pas de terme moins anxiogène qui dise la même chose et qui puisse être accepté par les autorités et le grand public. Mais l’affichage ou le non-affichage de la mention OGM font l’objet d’une lutte acharnée. Car quand on ne peut pas changer le mot, on tente de le cacher.

  • L’écologie est-elle un terrain particulièrement propice à cette guerre des mots ?

Sans doute. C’est un domaine qui remet profondément en question nos manières de produire et de consommer, qui met à mal nos valeurs fondatrices. C’est aussi un domaine fécond en controverses. Or dès qu’on parle, on manipule. En 2008, lorsque le prix du pétrole augmentait de manière importante et soudaine, on parlait de « flambée ». Très imagé, ce terme pouvait faire penser qu’il s’agissait d’un événement naturel, imprévisible et incontrôlable, comme un puits de pétrole qui s’enflamme, alors qu’au contraire on parlait d’un processus économique rationnel et connu. Sans qu’on n’y prête attention, les mots trimballent ce genre de conceptions. On peut toujours changer de mot, mais aucun ne reste neutre très longtemps.

mardi, juin 11 2013

Annonces concernant les Pumis et animaux de compagnie...

lien pour signer la pétition :

http://www.mesopinions.com/petition...

logo MesOpinions.com

Pour la suppression de la sous rubrique animaux pour les particuliers sur le Bon Coin

Pétition MesOpinions.com À l'attention : Mr Le Directeur des Publications Terje Seljeseth

Par la présente pétition,

Nous, personnes physiques ou morales, demandons instamment, à Mr Le Directeur des publications Terje Seljeseth, de bien vouloir retirer la sous-rubrique "ANIMAUX" du site "LE BON COIN". Ceci pour que cesse le "trafic", vente, donation de chiens, chats, chevaux et toutes autres formes de vie animale par des "Particuliers" comme vous les nommez sur votre site.

Que seuls les professionnels (éleveurs canins, félins ou Associations de Protection Animale) aient le droit de publier des annonces sur votre site avec obligation de faire paraître leur numéro de Siret .

Nous, personnes physiques ou morales, sommes révoltées par cette politique de vente par annonce sur votre site et surtout par des "Particuliers" sans scrupule : Faire de l'argent sur le "dos" d'animaux de compagnie qui ne sont pas sensés servir de reproducteurs mais voués à la compagnie de l'Homme.

Souhaitant que notre demande soit entendue et espérant avoir pleinement satisfaction, nous attendons de votre part la suppression de cette sous-rubrique "ANIMAUX" pour les PARTICULIERS.

Mr Le Directeur des Publications Terje Seljeseth, nous vous remercions de nous accorder votre attention.

PS Personnel : Dites NON également aux usines à chiots, n'achetez plus dans les animaleries pour ne pas encourager la surproduction et la cruauté envers les animaux...


jeudi, juin 6 2013

Palsi, avec les yeux de Pumi...

Flag of Setos - SETOMAA A Palsi talu, en Estonie, le soleil brille, et la nature est belle et généreuse. Les pumis en profitent et découvrent, jouent et courrent avec (ou après ;-) ) plein d'animaux.
Un aperçu fait au travers des jeux de Rib, Csipke et Forró... pendant que les chiots dorment à la maison !!!

Moustique - juin 2013
Cigogne blanche - juin 2013
Crapaud - juin 2013
Crapaud - juin 2013
Papillon - juin 2013
Grenouille commune - juin 2013
Grenouille commune - juin 2013
Hanneton - juin 2013
Hanneton en vol - juin 2013
Grenouille verte

Emissions de CO2, les constructeurs automobiles... et leurs chiffres!

Le Réseau Action Climat – France (RAC-F) (1) vient de publier une synthèse des travaux de l’Organisation International Council on Clean Transportation (ICCT) qui comparent les émissions de CO2 réelles des marques d’automobile avec celles officiellement déclarées par les constructeurs.

2013-Les émissions de CO2 réelles des marques d’automobile avec celles officiellement déclarées par les constructeurs

Selon le rapport, il apparait clairement que tous les constructeurs ont tendance à minimiser les émissions et, plus les constructeurs se situent dans le « haut de gamme », plus ils ont tendance à minimiser la réalité. Ainsi le rapport précise que : « Les écarts les plus importants (25-30%) concernent les véhicules vendus par BMW, Audi, Vauxhall/Opel (GM) et Mercedes (Daimler). Les différences sont plus minces chez Renault, Peugeot Citroën (PSA) et Toyota (15%). » . Globalement, si l’on en croit les résultats, seulement 55 % des progrès technologiques mis en avant par les constructeurs seraient bien réels.

Selon les auteurs, les constructeurs utilisent au maximum les flexibilités permises par les procédures de test en laboratoire et sur la route qu’ils doivent suivre. Ces flexibilités représenteraient entre 25 et 30 % de l’écart. D’autres points sont mentionnés, à savoir les omissions d’équipements énergivores comme la climatisation, l’inadéquation entre le NEDC (2) et les conditions de conduite réelles, ainsi que le fait que les procédures autorisent une sous-estimation des mesures effectuées.

D’après le document du RAC-F, si une nouvelle procédure de test n’est pas mise en place, l’objectif 2020 européen de 95g de CO2 par Km ne sera pas réalisé sur les routes mais uniquement sur le papier.

Pour les constructeurs automobiles les enjeux sont de taille. Minimiser les émissions de CO2 peut permettre d’éviter ou de réduire les taxes et amendes liées aux contraintes imposées par l’Union européenne. De plus, les émissions de CO2 sont devenues depuis une dizaine d’années un véritable outil marketing. Pour le consommateur, une information fausse est loin d’être négligeable car il y a un lien direct entre l’émission de CO2 d’un véhicule et sa consommation de carburant ; minimiser l’un c’est forcément minimiser l’autre.

1 – Le Réseau Action Climat – France (RAC-F) est une association loi de 1901 spécialisée sur le thème des changements climatiques fondée en 1996. Il est le représentant français du Climate Action Network International.

2 – Le nouveau cycle européen de conduite ou New European Driving Cycle. Cycle sensé reproduire les conditions de conduite moyennes rencontrées sur les routes européennes.

Michel . 30/05/2013

http://www.univers-nature.com/

mardi, mai 14 2013

Le nouveau rapport de l'OMM

WMO Logo

L’Organisation météorologique mondiale est l’organisme des Nations Unies qui fait autorité pour les questions relatives au temps, au climat et à l’eau.

https://www.wmo.int/pages/mediacent...
Vous pouvez consulter le rapport complet (en anglais) en suivant le lien : http://www.wmo.int/pages/mediacentr...

Comme tous les ans, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) (1) a publié début mai son compte rendu sur l’état du climat mondial pour l’année qui vient de s’écouler. D’après le rapport de l’Organisation, l’année 2012 se classe en neuvième position des années les plus chaudes depuis le début des mesures en 1850. Ainsi, la température moyenne des terres et des océans est estimée supérieure de 0,45 degrés Celsius à la moyenne calculée pour la période 1961-1991.

Il est à noter que les 13 années depuis 2001 se classent toutes parmi les années les plus chaudes. Lors de la publication du rapport, Michel Jarraud, Secrétaire général de l’OMM a déclaré : «la tendance à la hausse des concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre qui se poursuit et entraîne une augmentation du forçage radiatif de l’atmosphère terrestre confirme que le réchauffement va se poursuivre». Cette déclaration intervient alors que l’observatoire qui mesure les concentrations de CO2 près du sommet du volcan Mauna Loa à Hawaii vient d’annoncer que le seuil symbolique et historique des 400 ppm (2) était en passe d’être franchi. Selon la Scripps Institution of Oceanography de l’université San Diego de Californie, un tel seuil n’a pas été atteint depuis plus de 3 millions d’années et, à cette époque, le climat de la Terre était bien plus chaud que celui d’aujourd’hui. Pour mémoire, d’après les chiffres de l’OMM, le niveau de concentration de CO2 était de 280 ppm lors de l’ère préindustrielle en 1750.

Un des faits marquants exposé dans le compte rendu de l’OMM est le niveau record de fonte de la banquise arctique atteint lors de l’été 2012. Le précédent record datait de 2007 et avait été qualifié de niveau exceptionnellement bas avec une surface de 4,18 millions de km2. Au plus bas de 2012, il a été relevé 18 % de surface en moins qu’au plus bas de 2007.

Lors de la publication du compte rendu il a été aussi souligné l’impact de la montée des océans sur certaines catastrophes climatiques en précisant que, depuis 1880 cette hausse est évaluée à une vingtaine de cm. Cette hausse a notamment un effet amplificateur sur les inondations des côtes lors de l’arrivée des cyclones par exemple.

  • (1)- L’OMM compte 191 États et territoires Membres. Elle a succédé à l’Organisation météorologique internationale (OMI), qui a été fondée en 1873.
  • (2) – ppm : initiales de « partie par million » soit le nombre de molécules de gaz à effet de serre pour un million de molécules d’air.

Evolution des T°

lundi, avril 22 2013

France : Fichier ADN : «Celui qui refuse le prélèvement est suspect»

http://ldhcibp.wordpress.com/2013/0...

Ligue des Droits de l'Homme, section Chancelade Isle Beauronne en Perigord

Fin Mars, Larmor-Baden :
Un habitant refuse le test ADN, alors que tous les hommes de son village sont soumis au prélèvement au prétexte d'une enquête sur une série d'incendies :

Son refus a été médiatisé, notamment par une lettre qu'il a adressé publiquement au Procureur de la République : "« Tout peuple qui s’apprête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’un ni l’autre, et finit par perdre les deux. »"
"On nous assure oralement qu'une fois la comparaison effectuée et conformément à l'article 706-54, les échantillons ne seront pas conservés au Fichier National Automatisé des Empreintes Génétiques (Fnaeg). Tiens, en voilà une idée qu'elle est bonne. Pourquoi s'embêter avec une paperasserie pesante" "Voilà la logique à l’œuvre : soit vous donnez votre ADN comme un suspect dans une enquête, soit vous refusez et devenez alors suspect dans cette même enquête. Un vrai ruban de Möbius."
"Oui, je m'enflamme et non, vous ne ficherez pas mon patrimoine génétique. Je m'oppose à cette violation du droit au respect de la vie privée (art. 8 de la convention européenne des droits de l'homme) qui est également une grave atteinte au respect du corps humain (art. 16 du code civil)."
Lettre-ouverte dans son intégralité : http://ldhcibp.wordpress.com/2013/0...
Sur l'opération policière initiale, de prélèvement Adn sur les hommes du village :

Et les incendies continuent ; un 10e est survenu le 10 avril dernier :

Les justifications du procureur Thierry Phelippeau concernant les prélèvements Adn de masse (415, une dizaine encore à effectuer) dans cette affaire très locale : "pour le moment, les tests n’ont rien donné. Ceux connus sont négatifs. Quant à la personne qui avait refusé de s’y soumettre, le procureur a fait savoir qu’il verrait ultérieurement la suite à donner. Il a par ailleurs révélé que l’ADN recherché est celui qui a été retrouvé sur une pierre qui servi à briser une fenêtre. " Le dernier incendie confirme l’importance à donner à cette enquête"... :


Il n'y a rien à ajouter... à cette phrase, qui peut être un bon devoir de dissertation ;-) :

Tout peuple qui s’apprête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’un ni l’autre, et finit par perdre les deux.

Et rappelez-vous un article du 04 avril 2013 :
Votre ADN n'est jamais "anonyme
"Des volontaires ont accepté de participer à une étude sur le génome humain. Ils ont donné un peu de leur ADN, pensant que parmi des milliers, ils resteraient anonymes.
Erreur !
En janvier dernier, la revue Science a publié les résultats d'une étude américaine. En effectuant des recherches sur le web, des chercheurs du Whitehead Institute for Biomedical Research ont réussi à identifier cinq personnes choisies dans un groupe d'un bon millier de volontaires, qui avaient soumis des échantillons de salive à des chercheurs, dans le cadre d'une étude génomique"...

Le Pumi et le Loup (3) : Pourquoi et comment il y a autant d'animaux sauvages dans ma région!

Il faut savoir que sur les terres de Palsi talu, et dans les proches alentours, vous pouvez observer de très nombreux animaux sauvages, dont 2 loups, 5 lynx et 1 ours.
Felálló-Fülű Forró raffole de suivre les traces... c'est vraiment devenu un chasseur..d'images!!! et quelquefois, il n'hésite pas!! (voir http://pumi.blog.free.fr/index.php?...).
Vous pouvez en faire de même, les pumis et leurs "accompagnateurs" sont les bienvenus pour des vacances d'observation à la ferme..

Logo etv - osoon Voici une émission de etv (Osoon) qui relate ce que les gardes-frontières peuvent visualisés avec les caméras...
Les animaux ne reconnaissent pas les frontières nationales, et il est assez fréquent que les gardes-frontières aient à identifier les traces d'animaux (animaux solitaires ou en troupeaux). On constate que les passages de la Russie vers l'Estonie sont beaucoup plus actifs que l'inverse! Pourquoi en est-il ainsi? Le zoologiste Nikolai Laanetult nous en dit plus.

http://etv.err.ee/arhiiv.php?id=137...

Osoon (subtiitritega)* (09.04.2013 13:50)
Loomad ei tunne riigipiire ja on üsna tavaline, et piirivalvuritel tuleb tuvastada loomajälgi. Tullakse üksinda ja karjakaupa ning on täheldatud, et Venemaa poolt Eestisse on aktiivsem liikumine kui vastupidi. Miks see nii on, uurime zooloog Nikolai Laanetult. Läänemaal inimeste meeli ärevil hoidnud loom osutus šaakaliks. Jahimehed püüdsid ta kinni, aga õhku jäi palju küsimusi. Tuleb välja, et ta polnud ainus - liigikaaslased jalutavad endiselt Matsalu roostikus ja kadakate vahel. “Osoon” püüab šaakalite kohal olevat saladusloori pisut kergitada. Saame teada, kas kanamuna on üks rakk või mitu ja kumb siis ikka oli enne, kas muna või kana? Autorid Kristo Elias, Margit Kilumets ja Sander Loite. Lood seob saateks Vladislav Koržets. Režissöör Mihkel Ulk, operaator Magnus Suitso, helirežissöör Jüri Vaher, toimetaja-produtsent Õie Arusoo.

jeudi, avril 11 2013

"Ma" fabrique de savon

http://www.analiablanco.com/
http://www.fabricadejabon.es/

Fabrique de savon à partir d'huile usagée

Article écris par Benjamin pour http://www.univers-nature.com/

Je recycle l’huile avec mon usine à savon
Chacun d’entre nous a dû vivre ça lors de nos premières années loin du foyer parental, une période où l’on apprend beaucoup sur la tenue d’un logement à force d’erreurs : déverser des matières grasses dans l’évier finit par boucher celui-ci. Les matières se figent petit à petit jusqu’à complètement obstruer le siphon, qu’il faut alors démonter et nettoyer. Tâche ingrate. Mais alors que faire de ces déchets gras ? Pour le beurre, il suffit d’attendre qu’il se re-solidifie après la cuisson pour l’envoyer faire un beau voyage, direction poubelle.

Pour l’huile en revanche, Analia Blanco, jeune designer, propose de lui offrir une seconde vie et de le transformer en savon. Pour cela, la jeune femme, ancienne de l’école polytechnique de Valence (en Espagne, pas dans la Drôme) a inventé un petit appareil électroménager qu’elle a appelé « usine à savon » : d’apparence cubique, blanc, celui-ci se fondra parfaitement dans n’importe quel coin cuisine. Son mode de fonctionnement est d’une simplicité à toute épreuve : il suffit d’y introduire de l’huile usagée préalablement filtrée, de la mélanger à de l’eau et à de la soude caustique (attention les doigts tout de même), et l’usine à savon se charge de mélanger tout cela et de produire des doses de savon solide, semblables à ceux vendus dans les magasins et auxquels vous êtes habitués. Pour un litre d’huile, l’appareil est capable de produire 850 grammes de savon.

Attention à l’abus de langage, on parle ici d’un savon pensé pour le lavage des sols, de la vaisselle et même du linge, mais en aucun cas pour le soin du corps humain. Quoi qu’il en soit, cette usine à savon permet de se débarrasser de façon intelligente d’un déchet encombrant, et dont un seul litre est capable de contaminer quelques 1000 litres d’eau potable.

Sachant que chaque Français consomme en moyenne 4 litres d’huile alimentaire par an, les volumes rejetés dans les égouts dans les meilleurs des cas, ou directement dans la nature, sont conséquents et méritent d’être pris en compte. C’est à cela que s’est attelée Analia Blanco, en imaginant son usine à savon, en la faisant breveter, et en continuant encore et encore de la tester pour la perfectionner, avant une mise sur le marché espérée dans quelques années. Son travail n’est en tout cas pas passé inaperçu, puisqu’elle a décroché de multiples récompenses lors de concours de design.

Reste à dépasser l’éventuel blocage psychologique du consommateur, pas forcément enclin à nettoyer sa chemise préférée ou la vaisselle de mamie avec du savon fabriqué à partir d’huile de friture recyclée.

Benjamin 

mercredi, mars 27 2013

Le Pumi et le Loup

Setomaa flag

Pumi koer ja Hunt

The Pumi and the Wolf

Before last night, dogs go out before sleep, unaccompanied ... as usual.
But then, big barking and cavalcade : Rib returns quickly and stay near me. I call the Pumis (Csipke and Forró) ... Csipke coming soon, but not Forró!
After a long time, Forro comes back out of breath and takes a long time to recover from their efforts!
The next day, I want to know what happened the night and then ... surprise! The traces of a race between Forró and a wolf ..!
What is sure, Forró will have to learn the Wild!
Following in pictures ...

Le Pumi et le Loup

Avant hier soir, les chiens sortent avant de dormir, non accompagnés...comme d'habitude.
Mais là, gros aboiements et cavalcade..Rib revient vite et reste prêt de moi. J'appelle les pumis (Csipke et Forró)...Csipke revient bientôt, assez essoufflée, mais pas de Forró!
Après un long moment, Forro revient à bout de souffle et met longtemps à récupérer de ses efforts!
Le lendemain, je veux savoir ce qu'il s'est passé la nuit et là...surprise! les traces d'une course entre Forró et un..loup!
Ce qui est sûr, il va falloir que Forró apprenne la nature sauvage!

La suite en images...

La voie du loup au galop à Selme (Palsi talu)
Le départ du galop du loup
La course entre le loup et le pumi - The run
La voie du loup au trot dans la forêt - Trot in forest
Taille de l'empreinte du loup
empreintes et allures du loup
dimensions marche du loup

Pour en savoir plus sur les loups : Le loup http://www.loup.developpement-durab...

lundi, mars 18 2013

Comment construire une éolienne par Hugh Piggott

Tout a commencé sur la presqu’ile de Scoraig, en Écosse, au milieu des années 1970. Le jeune Hugh Piggott, un « hippie désireux de revenir à la terre » (selon ses propres mots), s’installe sur ces terres balayées par les vents, isolées de tout réseau électrique et quasiment désertées. Très vite, il va s’improviser constructeur d’éoliennes et consacrer les vingt années qui suivent à tenter d’exploiter l’énergie du vent pour alimenter sa maison et celle de ses voisins. Rien que ça.

Après nombre d’échecs et d’approximations (relatés sur son site Internet), Piggott parvient à trouver une méthode efficace, équipe les habitants en quête d’alternatives (1) qui ont rejoint l’ile, et acquiert une renommée internationale. Au tournant des années 2000, il commence à animer des conférences et des stages pratiques. Depuis, son modèle se répand dans le monde entier.


http://www.scoraigwind.com/

Note :
Et pour ceux qui sont intéressés par le solaire, voici un site sympa où vous pouvez trouver une foule de renseignements :
http://www.clicsolaire.fr/

mardi, février 12 2013

Pesticides : action sur Paris vendredi 15 février

Round'up Amis désobéissants,
Le collectif Round'up Non Merci commence une campagne d'actions non-violentes visant à interdire l'herbicide Round'up à la vente. le timing est idéal, car d'ici décembre, le sort de pesticide doit être discuté au niveau du Parlement français et de la Commission européenne... Seulement, sans pression populaire, le pesticide le plus vendu au monde, et sans doute l'un des plus dangereux aussi, risque de passer une fois de plus entre les gouttes...
Le collectif passe à l'action pour la seconde fois ce vendredi, à partir de 17h45. Il a besoin de vous ! Risque juridique : zéro, mais on sera quand même dans la désobéissance... tout en s'amusant ! Si vous voulez participer, inscrivez-vous auprès de Rémi : remifilliau@hotmail.fr
Rappelons que plusieurs études scientifiques ont clairement montré la toxicité du Round'Up, notamment l'étude du professeur Gilles Eric Séralini de l'université de Caen. La firme Monsanto, fabriquant du Round'up, a également été condamnée en 2007 à Lyon pour publicité mensongère sur la biodégradabilité et l'innocuité du produit.

http://www.roundup-non-merci.fr/

samedi, février 2 2013

El Hierro vers son autonomie pour les énergies

Info NATURE

El Hierro, la plus occidentale et méridionale ile de l’archipel des Canaries s’est fixée comme objectif d’être autonome en énergie, en recourant uniquement aux énergies renouvelables avec un axe fort autour de l’éolien grâce à une centrale combinant éolien et hydroélectricité dont la mise en service est prévue à l’horizon 2013.
Le projet de développement durable de l’île ne s’arrête pas à la question de l’autonomie énergétique mais englobe d’autres aspects comme le développement massif d’une agriculture bio ou le déploiement de véhicules thermiques d’ici 2020.
logo clicdurable Voir l'article de Deborah du 28/11/2012 :
http://www.clicdurable.fr/nature/li...

mercredi, janvier 23 2013

Police to prevent doghunter rally in Moscow on Jan 25th!

Police to prevent doghunter rally

by Evgeniya Chaykovskaya at 23/01/2013
http://themoscownews.com/local/2013...


Police to prevent doghunter rally

Police are doing all they can to prevent a rally planned for Friday by Moscow’s doghunters.

Doghunters voluntarily catch and kill stray dogs, and a group of activists plan to stage a massive cull on January 25, RIA Novosti reported.

The biggest action would take place in Moscow’s suburbs.

“Moscow police have information that an event is being planned. All the necessary preventative measures aimed at preventing cruelty to animals will be taken,” the police said.

Several dozen dogs were poisoned in Moscow in 2012. In October, some 500 dog owners and animal rights activists gathered in Novopushkinsky Park to demand an end to animal cruelty.

In 2012, more than 1,000 dogs were killed in Moscow, including pets. Rescue dogs, seeing eye dogs, “therapy” dogs that help people with special needs were among accidental victims of the fight against strays.

There are between 30,000 and 50,000 stray dogs on Moscow’s streets, Alexander Tkachev-Kuzmin, chairman of the Russian Veterinarian Association, told The Moscow News, adding that another 15,000 are kept in large municipal shelters.

Other estimations put the number of strays even higher. Statistics for private shelters and temporary homes for abandoned animals are not readily available, but experts say the figures are small compared with the total number of stray dogs in the city.

vendredi, décembre 28 2012

Pour passer dans la nouvelle année, les photos de Remo Savisaar

Rappel : ce photographe a déjà eu les honneurs du blog. A chaque visite de son site, de son blog, c'est pour moi un nouvel émerveillement... et il présente si bien mon lieu de vie!

¤ Remo Savisaar is a nature photographer based in Estonia. ¤

http://pumi.blog.free.fr/index.php?...

http://www.blog.moment.ee

http://www.facebook.com/pages/Remo-...

virmalised_13nov2012_6241

13.nov 2012, 23:44, Tartumaa, Estonia.

Täna öösel võis taas põhjataevas näha virmalisi. Sellel korral paistsid need üsna võimsad ning otsustasin, et peaks ka ikka pildistama minema. 22:30 olin väljas ning ligi tund hiljem võis loetud minutitel näha eriliselt uhket vaatemängu.
See kestis vaid napid viis minutit. Siin nähtav pilt ongi üks, mis tehtud vaatemängu kulminatsiooni ajal. Kell näitas siis 23:44.
Südaööks oli kõik läbi ning nähtav vaid õrn rohekas kuma. Pilvede pealetung oli alanud.
PS Esimest korda nägin ka langevat tähte, mis ei põlenudki ära. This was first time when I saw falling star, which didn’t burn out.

mardi, décembre 18 2012

Bientôt Noël...Bon appétit!!

SCANDALE DU SAUMON D'ELEVAGE

Avant d'acheter du saumon d'élevage Norvégien pour Noël, regardez donc ce reportage de 13 minutes... et faites vos courses en connaissance de cause!!!


samedi, novembre 24 2012

URGENT PUMI RESCUE!!!

SOS- Urgent!!

Ich bin Greg, ein 11 jähriger Pumi-Rüde, mein langjähriges Herrchen wurde sehr krank und kann nicht mehr für mich da sein. Damit ich nicht in eines dieser grauseligen Tierheime muss, suche ich eine Familie oder eine einzelne Person mit der ich noch ein paar schöne Jahre verbringen kann. Meldet euch bitte.
11 year old Pumi boy is looking for a good home!!! My name is Greg, my longtime owner became very ill, he can´t take me any longer! Greg is healthy and fit and is looking for a new longtime good home!! In younger years he was been rescueted in Austria!!!! Please help him!!!

Je suis Greg, un chien de 11 ans, Pumi, mon maître de longue date est très malade et ne peut plus être là pour moi. Je n'ai pas envie de me retrouver dans les refuges pour animaux que j'ai connu en Autriche, dans ma jeunesse, Je cherche une famille ou une personne seule avec qui je peux passer quelques bonnes années. S'il vous plaît, aidez-moi!! Greg vit actuellement en Allemagne, en Forêt noire.

Pumi Greg

Contact :

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