Felálló-Fülű Pumi Kennel Klub - Felálló-Fülű Пуми клуб

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Tag - Protection

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vendredi, novembre 23 2012

Stage de formation à la désobéissance au nord de Paris

Gaz de schiste - Schéma Amis désobéissants, un stage de formation à la désobéissance civile se tiendra pour la première fois dans l'Aisne (02), à Chateau-Thierry, les 1 et 2 décembre prochains.
Peut-être parce qu'il y a quelques mauvaises odeurs de gaz de schiste dans le coin ???
Il reste des places !!!

Inscriptions auprès de Leslie : vp_agence21@aliceadsl.fr ou : 03 23 84 19 21.
http://www.desobeir.net

Et allez lire cet article assez édifiant sur la situation actuelle...
http://www.arretsurimages.net/vite....

mardi, novembre 13 2012

Actualités autour de l'Auto en France : Paris

Paris : Bertrand Delanoë veut compenser la mise en place des Zapa par une prime à la casse

13/11/2012

Le maire de Paris Bertrand Delanoë a proposé hier au Conseil de Paris la mise en place d’une prime à la casse pour accompagner l’interdiction des véhicules de plus de 17 ans dans la capitale et ses alentours.

Bertrand Delanoë a présenté hier ses propositions pour lutter contre la pollution dans la capitale au Conseil de Paris. Des propositions qui visent surtout à réduire davantage la circulation automobile, alors qu’elle a déjà diminué de 25% en 10 ans. "Dans la mesure où les industries toxiques ont pratiquement disparu de notre ville, il faut bien l’admettre, c’est la voiture qui constitue aujourd’hui la principale source de pollution. Il est donc nécessaire de continuer à réduire son influence", peut-on lire dans le discours de Bertrand Delanoë publié sur son blog. Le maire souhaite la constitution d'une Zone d'action prioritaire pour la qualité de l'air (ZAPA) sur un territoire étendu jusqu'à l'A86 en 2014. Cette mise en place se traduira par l’interdiction de circulation des véhicules de plus de 17 ans et des deux-roues de plus de 10 ans. Bertrand Delanoë a appelé le gouvernement à accompagner cette décision par la mise en œuvre d’une prime à la casse "pour l’ensemble des possesseurs de véhicules polluants". Le maire propose également "un abonnement gratuit à Autolib’" pour venir "compenser, pour certains particuliers, les effets collatéraux de cette avancée sanitaire majeure".

Péage métropolitain et réduction de la vitesse Par ailleurs, le maire a déclaré qu’il soumettrait à la Région l’idée d’un péage métropolitain pour les poids lourds sur les autoroutes franciliennes. Il prévoit encore de diminuer la vitesse à 70 kilomètres heure sur le périphérique (contre 80 Km/h) et à 30 kilomètres heure dans certaines zones très fréquentées, afin de "réduire les nuisances et les dangers, mais également de mieux harmoniser les rythmes de circulation". Pour l’association 40 millions d’automobilistes, ces dernières mesures sont tout aussi gadgets que contre-productives. Concernant la réduction à 70 km/h de la vitesse maximale sur le périphérique, les études menées par le Certu montrent qu’une "une baisse de 10km/h n’aurait aucun impact sur le bruit", tandis que ceux de l’Ademe relèvent "que baisser la vitesse de circulation de 10 km/h n’aurait pas d’effet notable sur les quantités de polluants émises par les véhicules". Aussi, pour l’association, "cette mesure n’aura d’autre effet que de réinciter les automobilistes à traverser la capitale et ainsi ajouter de la congestion à la congestion". Concernant maintenant la réduction de la vitesse à 30 km/h, l’association indique que, selon les experts du Sétra, "les émissions routières de polluants atmosphériques sont beaucoup plus nombreuses à 30km/h, que ce soit en matière d’oxydes d’azote (NOx), de particules (PM) ou encore de dioxyde de carbone (CO2)".

Emilie Binois

http://www.autoactu.com/

samedi, octobre 27 2012

L'usine de méthanisation METHAVALOR

méthavalor Le projet global du Sydeme est le premier en France à réunir toutes les technologies innovantes de transformation des bio-déchets en bio-méthane réseau et bio-méthane carburant sur un même site. Économie circulaire, énergie renouvelable, préservation des ressources, respect de l’environnement,... ce projet recense tous les critères d’exemplarité en terme de développement durable.
Des camions qui roulent grâce au biogaz produit par les déchets organiques de la commune, la ville de Morsbach en Moselle inaugure sa station de méthanisation qui va permettre d'utiliser ce gaz 100% bio.
Un moyen pour la population, initiée depuis plusieurs années aux gestes du tri, de contribuer, au final, à son propre chauffage.
Le principe est simple : via le tri multiflux, le Sydème collecte les bio-déchets de près de 300 communes qui englobent environ 385 000 habitants. Outre la réalisation de compost et d’engrais liquides, le site morsbachois se singularise par la valorisation du biogaz, produisant de l’électricité et de la chaleur.
Dorénavant, deux autres utilisations du biogaz, issu de nos restes de repas, sont possibles. Tout d’abord comme carburant pour tous les véhicules, de la voiture au poids lourd de 44 tonnes.La Régie de transport urbain de la Communauté d’agglomération de Forbach a équipé une partie de sa flotte de bus au GNV.
Plus innovant encore, du bio-méthane va pouvoir être injecté dans le réseau public. En effet, une unité d’épuration du biogaz, le rendant parfaitement miscible avec le gaz naturel et en assurant la même qualité, a été créée. Le biogaz initial est composé à 60 % de méthane et à 40 % de CO 2. L’unité d’épuration transforme ce biogaz en bio-méthane, à 98 % de méthane pur.
Si le biogaz est neutre en carbone, le gaz naturel permet en effet déjà 25% d'émissions de CO2 en moins par rapport au diésel. Il est moins cher à la pompe en raison notamment de faibles taxes. Mais surtout, il n'émet aucune particule fine, et 98% moins d'oxydes d'azote et d'oxydes de soufre.
Dans le même temps, un poste d’injection a été construit de façon à alimenter le réseau. Inauguré hier, il représente pour GrDF le futur standard des projets à venir. « Nous avons 350 dossiers à l’étude et souhaitons en voir aboutir une cinquantaine d’ici trois ans », assure Laurence Hézard. Methavalor a donc un rôle d’exemple à jouer.
Source : http://pourunmondedurable.blogspot....

jeudi, octobre 25 2012

Pumi à adopter

Autriche Une Pumi, prénommée Wauzi, d'environ 1 an 1/2 est à adopter en Autriche. Elle n'a pas de papiers.
Voir le lien suivant, pour avoir toutes les informations (y compris contact téléphonique) :

http://www.tiere.at/Hunde/Wauzi%2C-...

Wauzi, pumi à adopter en Autriche

mercredi, octobre 3 2012

Les pumis fêtent la journée mondiale des animaux

World Animal Day logo Savez-vous que le 4 octobre est la journée mondiale des animaux ? Pour fêter cet événement, des journées portes ouvertes sont organisées partout dans le monde, des propriétaires choisissent d'amener leurs animaux sur leur lieu de travail ou simplement d'accorder un peu plus de temps à leurs fidèles compagnons.
À quoi ressemblera votre journée mondiale des animaux ?
Chaque année, le 4 octobre, le monde se tourne vers nos amis les animaux et souligne la relation spéciale que nous entretenons avec eux, mais aussi nos devoirs.
La journée mondiale des animaux a vu le jour en 1931 en Italie sous l'impulsion d'un groupe d'écologistes cherchant à sensibiliser l'opinion publique aux espèces en danger. Elle est aujourd'hui devenue une journée de sensibilisation à tous les animaux qui nous entourent.
Partout dans le monde se déroulent des événements, dans les refuges, les écoles, les cliniques vétérinaires et tout simplement les lieux de travail. Et c'est bien entendu l'excuse parfaite pour accorder à vos compagnons un traitement d'exception !

Qu'est-ce que la journée mondiale des animaux signifie pour vous ?
La journée mondiale des animaux vous servira peut-être de prétexte pour offrir un nouveau jouet à votre pumi? à l'emmener sur votre lieu de travail? etc...Pourquoi ne pas nous raconter en quoi cette journée a été spéciale pour votre pumi !
Pour être publié sur le blog, envoyer un email à : felallo.fulu@gmail.com

http://www.worldanimalday.co.uk/

http://www.facebook.com/pages/World...

vendredi, septembre 14 2012

L’interdiction du Diesel dans Paris demandée par l'adjoint au maire de Paris en charge de la santé.

Autour de l'auto - 14/09/2012

Le député Jean-Marie Le Guen demande l’interdiction du Diesel dans Paris

Le député PS et adjoint au maire de la ville de Paris, Jean-Marie Le Guen demande l’interdiction des véhicules Diesel dans la capitale.

Médecin de profession, le député PS et adjoint au maire de Paris en charge de la santé, Jean-Marie Le Guen demande dans son blog aux institutions publiques "de protéger les Français d’une catastrophe sanitaire majeure" en interdisant la circulation des véhicules Diesel en ville. "Le danger que font peser les particules fines sur la santé de nos concitoyens n’est plus une hypothèse mais une vérité scientifique désormais avérée que nous ne saurions ignorer plus longtemps", écrit-il.
Le médecin cite notamment l’étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) classant les gaz d’échappement des véhicules Diesel comme cancérigènes "certains" pour l’Homme.
Dioxyde d'Azote 2011 Paris - Airparif "Paris ne peut plus attendre et doit faire de la lutte contre les particules fines une priorité", ajoute encore Jean-Marie Le Guen. Le député propose dans ce but de se reposer sur les Zapa, la ville de Paris étant l’une des villes ayant accepté d’expérimenter cette initiative conduisant à restreindre la circulation en ville à certaines catégories de véhicules (choisis par la ville) pour améliorer la qualité de l’air. "Cette interdiction devrait également être étendue aux autres véhicules particulièrement polluants de tous types afin de réduire efficacement la pollution atmosphérique", poursuit-il.
Pour ne pas se voir opposer le fait que des milliers de franciliens n’ont pas d’autres choix que d’utiliser leur véhicule, Diesel pour beaucoup, pour aller travailler, le député propose en outre de mettre en place pour eux "une politique de soutien renforcée à la substitution".
La ville de Paris ne s’est toujours pas prononcée quant à la mise en place effective des Zapa et de son choix d’exclure telle ou telle catégorie de véhicule. Le ministère de l'Ecologie devrait réunir le 20 septembre les sept collectivités volontaires pour expérimenter les Zapa (Paris, Saint-Denis, Lyon, Grenoble, Bordeaux, Clermont-Ferrand et Aix-en-Provence).

Emilie Binois

http://www.autoactu.com/
Sites intéressants sur le sujet :

jeudi, septembre 6 2012

Rassemblement contre le CEDS (Centre d'élevage des Souches), pas de pumis mais des beagles!

CEDS = Elevage de chiens pour les laboratoires dans l’Yonne

Rassemblement contre l’élevage de Mézilles le samedi 8 septembre 2012 à Auxerre

https://www.facebook.com/events/153...
http://ccea.over-blog.com/pages/man...
Concernant le CEDS, Centre d'Elevage Des Souches, voici ce que l'on peut trouver comme renseignements juridiques :

  • Activité : Élevage d'autres animaux - 0149Z
  • Catégorie : Agriculture
  • Siège social : Domaine des Souches - 89130 MEZILLES
  • Forme juridique : SA à conseil d'administration
  • SIRET : 30701647700019
  • RCS : Joigny B 307 016 477
  • Capital social : 165.000,00 €
  • Nationalité : France
  • Dirigeants : PDG Mme Monique CARRE, DG délégué M. Michel CARRE
  • Administrateurs : Mme Monique CARRE, M. Michel CARRE, M. Sebastien CARRE, M. Julien CARRE

Le centre d’élevage du domaine des Souches (CEDS) à Mézilles n’est pas un chenil comme les autres. Il fournit des chiens à différents laboratoires de recherches bio-médicales, en toute légalité. Le CEDS s’étend sur 14 hectares au lieu-dit les Souches, situé au milieu d’un groupement forestier d’environ 800 hectares. Michel et Monique Carré ont implanté ce chenil en 1974. « Nous avons fait une étude de marché et la demande était alors importante », raconte Michel Carré, ancien ingénieur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM).
Avec son épouse, titulaire d’une maîtrise de biophysiologie animale, ils ont décidé d’arrêter la recherche et de se lancer dans l’élevage de chiens spécifique à l’expérimentation animale.L’activité est légale et très réglementée. Le centre est soumis à autorisation préfectorale. C’est un établissement classé, agréé pour 500 femelles reproductrices. Quinze personnes y travaillent à plein temps dont un vétérinaire. Selon les époux Carré, le chenil abrite un millier de chiens en permanence dont environ 300 femelles. « Nous élevons principalement des beagles, race la plus propice aux tests d’efficacité et de sécurité des médicaments et à la mise au point de certaines techniques chirurgicales, explique Michel Carré. Nous avons aussi quelques golden croisés, des chiens plus grands, qui servent pour des tests d’alimentation et de techniques reproductrices.

LA TROISIÈME MANIFESTATION DE 2012, après celles de 2010 et 2011, A LIEU A AUXERRE, DANS L’YONNE, PLACE DE L’ARQUEBUSE.

La marche, toujours non-violente, a lieu le samedi 08 Septembre 2012, à 12H00, place de l’Arquebuse, à Auxerre, non loin de Mézilles, pour se terminer au même endroit vers 18H00.
Les stands seront également installés sur cette place. Les parkings( 10/15 minutes à pied) : "migraines et/ou conches". Une mise en place de covoiturages https://www.facebook.com/events/300... et de bus sera effectuée pour faciliter votre venue. (voire événement "Cars Mézilles 3") https://www.facebook.com/events/173...
Nous accueillerons comme l'année dernière les militants dès vendredi à partir de 17H00 au camping de Saint-Fargeau !
Un communiqué de presse est envoyé à tous les médias pour solliciter leur présence et couvrir l’évènement, pour que “Mézilles, élevage de la honte” se fasse encore plus connaître! Il faut leur montrer que nous leur tiendrons tête tous les ans et que nous serons de plus en plus nombreux. Alors bloquez votre week-end, c’est essentiel pour nous et vital pour eux!
Merci à tous!
Rassemblement contre le CEDS (Centre d'élevage des Souches à Mézilles - 89130), le samedi 8 septembre 2012 à Auxerre Petit détail important pour la publicité concernant Mézilles 3 : si vous pouvez placarder un petit tract (imprimable à partir de l'annexe) sur votre voiture ou même poser une affiche dans votre ville (surtout ceux hors Paris), n'hésitez pas!! Toute aide de votre part est la bienvenue! Merci par avance.
http://ccea.over-blog.com/
ccea.officiel@gmail.com

mardi, août 7 2012

Végétariens : et s’ils avaient raison ?

Dossier Terraeco.net http://www.terraeco.net/Vegetariens...

Ne plus faire souffrir les animaux, refuser leurs conditions d’élevage, réduire son impact écologique sur la planète. Les raisons qui poussent un nombre croissant de Français à se détourner de la viande ne manquent pas. Et la minorité, souvent moquée, devient tendance. La bidoche cessera-t-elle bientôt d’être un horizon indépassable pour notre assiette ?


Une vague végétarienne déferle-t-elle sur la France ? Pas si vite. On est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées. Les chiffres en la matière sont rares. L’Union végétarienne européenne avance qu’au pays du bœuf bourguignon le nombre de végétariens tourne autour de 2 % de la population. Ils seraient 3 %, selon notre sondage (lire ici). Ce qui place la France en queue de cortège européen. Ils sont en effet 6 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse et en Allemagne. Pas de quoi craindre l’extinction des boucheries. Pourtant, le végétarisme marque des points dans l’Hexagone ces temps-ci. Des indices ? On vous les donne pêle-mêle. Le nombre d’adhérents à l’Association végétarienne de France a doublé en trois ans.

Un joli logo « Convient aux végétariens » a fait son apparition sur une sélection de produits surgelés de la chaîne de supermarchés Picard. Dans la capitale, il n’y a pas si longtemps, les rares restos sans chair animale dans l’assiette faisaient fuir les gourmets avec leurs jus de carotte fadasses et leur triste riz complet macrobiotique. Mais depuis peu fleurissent des adresses bien plus attirantes. « Un vent de glamour, venu des pays anglo-saxons, souffle sur la planète veggie parisienne », écrit même Alcyone Wemaëre, auteure d’un indispensable guide Paris végétarien (Parigramme, 2012).

Glamour, les végétariens frenchy ? Pas tant que ça. Chez nous, pas de Natalie Portman, l’actrice oscarisée, ou de Paul et Stella McCartney, l’ex-Beatle et sa fille styliste, pour faire l’apologie de la vie sans viande. Non, ce que nous avons – depuis peu –, ce sont des intellos qui font leur coming out végétarien, avec des arguments philosophiques.

Le coming out des gens de lettres

Marcela Iacub, juriste, essayiste et chroniqueuse dans Libération est connue pour bousculer les idées reçues, sur la sexualité notamment. Mais l’an dernier, dans son ouvrage Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard), c’est en végétarienne subitement convertie qu’elle surprend. Cette Argentine élevée comme il se doit à la parrilla, le barbecue local, à qui les bouchers parisiens faisaient de l’œil tant sa passion pour leur art était grande, a subi un choc profond en lisant un texte de Plutarque, Manger la chair.

Le grand patron de l’hebdomadaire Le Point, Franz-Olivier Giesbert, connaît lui aussi ce texte de Plutarque. Mais son dégoût pour les animaux morts lui vient, à l’origine, de son amour pour saint François d’Assise. Il consacre à son statut de végétarien quelques chapitres de son dernier essai, paru au début de l’année, Dieu, ma mère et moi (Gallimard). Alors, non, c’est vrai, tout ça ne forme pas un raz-de-marée végétarien… Mais on peut, sans trop exagérer, parler d’une nette tendance. La meilleure preuve ? Elle nous vient de l’industrie de la viande elle-même. René Laporte et Pascal Mainsant ont tous les deux fait leur carrière dans le secteur, sont membres de l’Académie de la viande – un organisme chargé d’en faire la promotion – et viennent de signer La viande voit rouge, chez Fayard. Ce qu’ils appellent le « front antiviande » – cette « sorte de galaxie de la cause “ animalitaire ” et environnementale » – fait, selon eux, beaucoup de bruit. Et ça les énerve.

Prise de conscience

Why not, you eat other animals don't you? Les deux auteurs essayent, avec plus ou moins de bonne foi, de démonter les arguments « anti-viande ». Pour eux, tout va bien, on peut continuer comme si de rien n’était. Il n’y a pas de souffrance dans les abattoirs. On peut nourrir la planète, avec 9 milliards d’humains en 2050, en consommant toujours autant de viande. La FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui rend l’élevage responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre ? Elle exagère, tout simplement.

Il faut dire que les charges médiatiques contre l’industrie de la viande se sont multipliées ces derniers temps. Il y a eu l’enquête Bidoche de Fabrice Nicolino en 2009 (aujourd’hui en poche, chez Babel) décrivant un « système échappant à tout contrôle social et moral ». En 2010, c’est le Faut-il manger les animaux ? (L’Olivier) de Jonathan Safran Foer qui a frappé les esprits. Au terme d’une longue et passionnante plongée dans l’élevage industriel et traditionnel, l’écrivain américain conclut que « la viande éthique est une promesse, non une réalité » et prend la décision de devenir végétarien. En 2011, on a pu lire encore dans Le livre noir de l’agriculture, d’Isabelle Saporta (Fayard), l’abominable calvaire subi par les cochons avant de devenir lardons. La télé aussi s’y met et à des heures de grande écoute. Arte passait une soirée entière en mars dernier à nous demander « Faut-il manger de la viande ? » Et un mois plus tôt, Envoyé spécial, sur France 2, diffusait un reportage baptisé « La viande dans tous ses états » qu’il était déconseillé de montrer aux moins de 10 ans. Et pour cause : on y voyait des scènes de souffrance animale insoutenables. On y apprenait aussi que 30 des 275 abattoirs français présentent des défauts importants, voire graves, et devraient être fermés, selon l’Union européenne !

Émotions et barquettes en plastique

Impossible de se confronter à ces réalités, puis de mettre un bifteck dans son assiette sans malaise. Impossible, si l’on commence à regarder son jambon en face de ne pas s’interroger sur la crise écologique et sur notre rapport aux animaux. 75 % des personnes que nous avons sondées affirment être végétariennes pour ne pas les faire souffrir. C’est la principale motivation. Pas étonnant. Car, dit en substance la philosophe Florence Burgat, auteure d’Une autre existence : la condition animale (Albin Michel, 2012), notre époque vit un paradoxe violent.

D’un côté, on prend conscience que les animaux ont des émotions aussi complexes que les nôtres. De l’autre, les milliards de bêtes que nous tuons chaque année nous apparaissent sous forme de simples produits, dans des barquettes en plastique ! Alors les végétariens ne sont pas encore légion, certes. Mais leur mode de vie nous met face à nos contradictions. Les questions qu’ils soulèvent se glissent de plus en plus dans le débat sur notre alimentation. Et si on commençait à y réfléchir sérieusement ? A table !

Abonnement Terra eco (papier + web) : http://www.terraeco.net/spip.php?pa...


Un blog sympa sur le même sujet... mais en plus, il est en BD ... et j'aime! :-)
http://insolente0veggie.over-blog.c...
blog-BD-vegetalienne

mercredi, juillet 25 2012

The Dream - Une ode à la Liberté pour tous les animaux

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This is an ode to freedom for all animals. Listen to its sound with hearts awake and our compassion determining our actions. Together, we can make freedom a reality for all.

I have a dream.

My dream is that one day, humans will open their eyes to see that animals are no different than we are and that in their last moments of life, we are the same. We all look at death with fear, we all desire freedom, and we all deserve to live.
What's your dream for animals?

C'est une ode à la liberté pour tous les animaux. Écoutez tous les sons avec votre cœur en éveil et notre compassion déterminera nos actions. Ensemble, nous pouvons faire de la liberté une réalité pour tous.

J'ai fait un rêve.

Mon rêve est qu'un jour, les humains vont enfin ouvrir leurs yeux pour voir que les animaux ne sont pas différents de nous et que, dans les derniers moments de nos vies, nous sommes les mêmes. Nous attendons tous la mort avec peur, nous avons tous le désir de la liberté, et nous méritons tous de vivre.
Quel est votre rêve pour les animaux?


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lundi, juillet 23 2012

Rappel : "Le prix de la liberté est la vigilance éternelle" - citation de Thomas Jefferson

Un livre pour l’Été

Dennis Meadows :

L’humanité obéit à une loi fondamentale : si les gens doivent choisir entre l’ordre et la liberté, ils choisissent l’ordre. C’est un fait qui n’arrête pas de se répéter dans l’histoire. L’ Europe entre dans une période de désordre qui va mécontenter certaines personnes. Et vous allez avoir des gens qui vont vous dire : « Je peux garantir l’ordre, si vous me donnez le pouvoir. » L’extrémisme est une solution de court terme aux problèmes. Un des grands présidents des États-Unis (NB : Thomas Jefferson http://en.wikiquote.org/wiki/Thomas...) a dit : « Le prix de la liberté est la vigilance éternelle. » Si on ne fait pas attention, si on prend la liberté pour acquise, on la perd.
Couverture du livre : Les limites de la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers, ed. Rue de l’échiquier, 425 pages, 25 euros.
N'oubliez pas de lire son livre enfin traduit en français :
Les limites de la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers, ed. Rue de l’échiquier, 425 pages, 25 euros.

Interview Terra Eco

La croissance perpétuelle est-elle possible dans un monde fini ? Il y a quarante ans déjà, Dennis Meadows et ses acolytes répondaient par la négative. Aujourd'hui, le chercheur lit dans la crise les premiers signes d'un effondrement du système.
En 1972, dans un rapport commandé par le Club de Rome, des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT) publient un rapport intitulé « Les limites de la croissance ». Leur idée est simple : la croissance infinie dans un monde aux ressources limitées est impossible. Aussi, si les hommes ne mettent pas fin à leur quête de croissance eux-mêmes, la nature le fera-t-elle pour eux, sans prendre de gants.

En 2004, le texte est, pour la deuxième fois, remis à jour. Sa version française vient – enfin – d’être publiée aux éditions Rue de l’échiquier. En visite à Paris pour présenter l’ouvrage, Dennis Meadows, l’un des auteurs principaux, revient sur la pertinence de projections vieilles de quarante ans et commente la crise de la zone euro, la raréfaction des ressources et le changement climatique, premiers symptômes, selon lui, d’un effondrement du système.

Terra eco : Vous avez écrit votre premier livre en 1972. Aujourd’hui la troisième édition – parue en 2004 – vient d’être traduite en français. Pourquoi, selon vous, votre livre est encore d’actualité ? Dennis Meadows :

A l’époque, on disait qu’on avait encore devant nous quarante ans de croissance globale. C’est ce que montrait notre scénario. Nous disions aussi que si nous ne changions rien, le système allait s’effondrer. Pourtant, dans les années 1970, la plupart des gens estimait que la croissance ne s’arrêterait jamais.

C’est aujourd’hui que nous entrons dans cette période d’arrêt de la croissance. Tous les signes le montrent. Le changement climatique, la dislocation de la zone euro, la pénurie d’essence, les problèmes alimentaires sont les symptômes d’un système qui s’arrête. C’est crucial de comprendre qu’il ne s’agit pas de problèmes mais bien de symptômes. Si vous avez un cancer, vous pouvez avoir mal à la tête ou de la fièvre mais vous ne vous imaginez pas que si vous prenez de l’aspirine pour éliminer la fièvre, le cancer disparaîtra. Les gens traitent ces questions comme s’il s’agissait de problèmes qu’il suffit de résoudre pour que tout aille bien. Mais en réalité, si vous résolvez le problème à un endroit, la pression va se déplacer ailleurs. Et le changement ne passera pas par la technologie mais par des modifications sociales et culturelles.

Comment amorcer ce changement ?

Il faut changer notre manière de mesurer les valeurs. Il faut par exemple distinguer la croissance physique et de la croissance non physique, c’est-à-dire la croissance quantitative et la croissance qualitative. Quand vous avez un enfant, vous vous réjouissez, au départ, qu’il grandisse et se développe physiquement. Mais si à l’âge de 18 ou 20 ans il continuait à grandir, vous vous inquiéteriez et vous le cacheriez. Quand sa croissance physique est terminée, vous voulez en fait de la croissance qualitative. Vous voulez qu’il se développe intellectuellement, culturellement.

Malheureusement, les hommes politiques n’agissent pas comme s’ils comprenaient la différence entre croissance quantitative et qualitative, celle qui passerait par l’amélioration du système éducatif, la création de meilleurs médias, de clubs pour que les gens se rencontrent… Ils poussent automatiquement le bouton de la croissance quantitative. C’est pourtant un mythe de croire que celle-ci va résoudre le problème de la zone euro, de la pauvreté, de l’environnement… La croissance physique ne fait aucune de ces choses-là.

Pourquoi les hommes politiques s’entêtent-ils dans cette voie ?

Vous buvez du café ? Et pourtant vous savez que ce n’est pas bon pour vous. Mais vous persistez parce que vous avez une addiction au café. Les politiques sont accros à la croissance. L’addiction, c’est faire quelque chose de dommageable mais qui fait apparaître les choses sous un jour meilleur à courte échéance. La croissance, les pesticides, les énergies fossiles, l’énergie bon marché, nous sommes accros à tout cela. Pourtant, nous savons que c’est mauvais, et la plupart des hommes politiques aussi.

Ils continuent néanmoins à dire que la croissance va résoudre la crise. Vous pensez qu’ils ne croient pas en ce qu’ils disent ?

Prenons l’exemple des actions en Bourse. Auparavant, on achetait des parts dans une compagnie parce qu’on pensait que c’était une bonne entreprise, qu’elle allait grandir et faire du profit. Maintenant, on le fait parce qu’on pense que d’autres personnes vont le penser et qu’on pourra revendre plus tard ces actions et faire une plus-value. Je pense que les politiciens sont un peu comme ça. Ils ne pensent pas vraiment que cette chose appelée croissance va résoudre le problème mais ils croient que le reste des gens le pensent. Les Japonais ont un dicton qui dit : « Si votre seul outil est un marteau, tout ressemble à un clou. » Si vous allez voir un chirurgien avec un problème, il va vous répondre « chirurgie », un psychiatre « psychanalyse », un économiste « croissance ». Ce sont les seuls outils dont ils disposent. Les gens veulent être utiles, ils ont un outil, ils imaginent donc que leur outil est utile.

Pensez-vous que pour changer ce genre de comportements, utiliser de nouveaux indicateurs de développement est une bonne manière de procéder ?

Oui, ça pourrait être utile. Mais est-ce ça qui résoudra le problème ? Non.

Mais qu’est-ce qui résoudra le problème alors ?

Rien. La plupart des problèmes, nous ne les résolvons pas. Nous n’avons pas résolu le problème des guerres, nous n’avons pas résolu le problème de la démographie. En revanche, le problème se résoudra de lui-même parce que vous ne pouvez pas avoir une croissance physique infinie sur une planète finie. Donc la croissance va s’arrêter. Les crises et les catastrophes sont des moyens pour la nature de stopper la croissance. Nous aurions pu l’arrêter avant, nous ne l’avons pas fait donc la nature va s’en charger. Le changement climatique est un bon moyen de stopper la croissance. La rareté des ressources est un autre bon moyen. La pénurie de nourriture aussi. Quand je dis « bon », je ne veux pas dire bon éthiquement ou moralement mais efficace. Ça marchera.

Mais y-a-t-il une place pour l’action ? La nature va-t-elle corriger les choses de toute façon ?

En 1972, nous étions en dessous de la capacité maximum de la Terre à supporter nos activités, à 85% environ. Aujourd’hui, nous sommes à 150%. Quand vous êtes en dessous du seuil critique, c’est une chose de stopper les choses. Quand vous êtes au-delà, c’en est une autre de revenir en arrière. Donc oui, la nature va corriger les choses. Malgré tout, à chaque moment, vous pouvez rendre les choses meilleures qu’elles n’auraient été autrement. Nous n’avons plus la possibilité d’éviter le changement climatique mais nous pouvons l’atténuer en agissant maintenant. En réduisant les émissions de CO2, l’utilisation d’énergie fossile dans le secteur agricole, en créant des voitures plus efficientes… Ces choses ne résoudront pas le problème mais il y a de gros et de petits effondrements. Je préfère les petits.

Vous parlez souvent de « résilience ». De quoi s’agit-il exactement ?

La résilience est un moyen de construire le système pour que, lorsque les chocs arrivent, vous puissiez continuer à fonctionner, vous ne vous effondriez pas complètement. J’ai déjà pensé à six manières d’améliorer la résilience. La première est de construire « des tampons ». Par exemple, vous faites un stock de nourriture dans votre cave : du riz, du lait en poudre, des bocaux de beurre de cacahuète… En cas de pénurie de nourriture, vous pouvez tenir plusieurs semaines. A l’échelle d’un pays, c’est par exemple l’Autriche qui construit de plus gros réservoirs au cas où la Russie fermerait l’approvisionnement en gaz. Deuxième chose : l’efficacité. Vous obtenez plus avec moins d’énergie, c’est ce qui se passe avec une voiture hybride par exemple… ou bien vous choisissez de discuter dans un café avec des amis plutôt que de faire une balade en voiture. En terme de quantité de bonheur par gallon d’essence dépensé, c’est plus efficace. Troisième chose : ériger des barrières pour protéger des chocs. Ce sont les digues à Fukushima par exemple. Quatrième outil : le « réseautage » qui vous rend moins dépendant des marchés. Au lieu d’employer une baby-sitter, vous demandez à votre voisin de garder vos enfants et en échange vous vous occupez de sa plomberie. Il y a aussi la surveillance qui permet d’avoir une meilleure information sur ce qu’il se passe. Enfin, la redondance qui consiste à élaborer deux systèmes pour remplir la même fonction, pour être prêt le jour où l’un des deux systèmes aura une faille. Ces six méthodes accroissent la résilience. Mais la résilience coûte de l’argent et ne donne pas de résultats immédiats. C’est pour cela que nous ne le faisons pas. Si l’on en croit un schéma de votre livre, nous sommes presque arrivés au point d’effondrement. Et nous entrons aujourd’hui, selon vous, dans une période très périlleuse… Je pense que nous allons voir plus de changement dans les vingt ans à venir que dans les cent dernières années. Il y aura des changements sociaux, économiques et politiques. Soyons clairs, la démocratie en Europe est menacée. Le chaos de la zone euro a le potentiel de mettre au pouvoir des régimes autoritaires.

Pourquoi ?

L’humanité obéit à une loi fondamentale : si les gens doivent choisir entre l’ordre et la liberté, ils choisissent l’ordre. C’est un fait qui n’arrête pas de se répéter dans l’histoire. L' Europe entre dans une période de désordre qui va mécontenter certaines personnes. Et vous allez avoir des gens qui vont vous dire : « Je peux garantir l’ordre, si vous me donnez le pouvoir. » L’extrémisme est une solution de court terme aux problèmes. Un des grands présidents des États-Unis a dit : « Le prix de la liberté est la vigilance éternelle. » Si on ne fait pas attention, si on prend la liberté pour acquise, on la perd.

http://www.terraeco.net/
/index.php?post/2012/05/30/La-crois...

vendredi, juillet 20 2012

SOS Pumi : des nouvelles de LULU

16 juillet 2012
Une photo vaut mieux qu'un écrit... un grand merci à toute la communauté Pumi et à Kate !

Lulu and the Pumi's gang with Kate Pinches - 16 juillet 2012
/index.php?post/2012/07/10/Pumi-%3A...

mardi, juillet 10 2012

Pumi : SOS, elle recherche une nouvelle maison

SOS. She needs a new home !

NEWS le 12/07 : KATE Pinches (Cuidado Kennel) va aller la chercher, et elle devrait bientôt vivre en Autriche :-)

...et rectificatif : ce n'est pas un "vrai" pumi, mais un mix. Longue vie à elle (LULU)

http://illatosut.hu/allat/2012-1341...

C'est une femelle pumi d'environ 1 an, arrivée au refuge le 8 juillet 2012.

Service de Santé Animale - Állategészségügyi Szolgálat
1097 Budapest, Illatos út 23/A

femelle pumi d'environ 1 an, arrivée au refuge le 8 juillet 2012 - Állategészségügyi Szolgálat - 1097 Budapest, Illatos út 23/A
Pour les questions d'adoption, appelez ce numéro de téléphone: +36-1-347-08-30
Fax: +36-1-347-08-30
E-mail: ebtelep@bfkf.hu

lundi, juin 25 2012

France : campagne de désobéissance au fichage ADN et pétition

Amis désobéissants,
Refus du Fichage ADN tous les militants, syndicalistes, bénévoles associatifs, simples citoyens engagés un jour contre l'injustice ont été, sont ou seront confrontés au fichage ADN. 2 millions de Français ont déjà dû donner leur ADN à la police, et 30 000 nouveaux prélèvements sont effectués chaque mois... Des prélèvements ADN qui ne disent pas seulement l'identité de la personne fichée mais aussi, c'est désormais certain, sa couleur de peau et ses prédispositions à des maladies génétiques... Une bombe liberticide dans les mains de l'Etat !!!
Nous invitons toutes et tous à refuser de donner votre ADN lorsque la police vous le demandera. Ne cédez pas aux injonctions, aux intimidations, aux menaces de sanctions pénales... ou au bluff (le policier vous fait boire un café puis vous demande votre ADN en disant que ce n'est pas la peine de refuser puisqu'il est déjà sur la tasse... Ils ont besoin de votre consentement !)
Nous sommes nombreux à avoir refusé de donner notre ADN : les poursuites ne sont pas systématiques, et les condamnations peu importantes... Et de temps en temps, des juges courageux refusent de condamner les militants !
Le fichier ADN (FNAEG) Nous voulons en finir avec le fichier ADN (FNAEG). Pour cela, nous venons de tenter la voie juridique, mais la Cour de Cassation vient de rendre un jugement qui ferme cet espoir. Reste la désobéissance civile, mais pour ça, il faut que tout le monde entende parler du fichage biologique et de la possibilité de le refuser ! A vous de diffuser ces informations, s'il vous plait, à vos proches et vos camarades de lutte.
Faire signer la pétition ci-dessous est un moyen publicitaire, en plus que de pression, qui va dans le même sens. Merci de votre soutien !

Ensemble, provoquons le changement

http://www.avaaz.org/fr/petition/St...

http://www.desobeir.net

jeudi, juin 14 2012

Les gaz d’échappements des moteurs Diesel reconnus comme cancérogènes par l'OMS

Les gaz d’échappements des moteurs Diesel ont désormais été classés par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) rattaché à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme cancérogènes pour l’homme.


Si de nombreux rapports publiés ces dernières années ont déjà alerté l’opinion sur le caractère cancérigène des particules Diesel, le communiqué du CIRC rattachée à l’OMS devrait, lui, faire l’objet d’une bombe pour les motorisations Diesel. "Les preuves scientifiques sont irréfutables et les conclusions du groupe de travail ont été unanimes: les émanations des moteurs diesel causent des cancers du poumon", écrit-il. Le groupe de travail, qui a néanmoins fondé ses études sur une population très exposée au Diesel (mineurs, travailleurs dans les parkings…), a également noté un risque accru de cancer de la vessie lié aux émanations Diesel.
Les gaz d'échappements de moteurs Diesel jusqu’ici classés parmi les cancérogènes "probables" pour l'homme (groupe 2A), ont donc été reclassés dans le groupe des cancérogènes "certains" pour les humains (groupe1).
En outre, malgré les efforts fournis par les constructeurs pour réduire les émissions et respecter ainsi les normes environnementales, le CIRC souligne qu’ils ne peuvent pas encore se traduire par une "amélioration des effets sur la santé". D’autant, que "de nombreuses années sont nécessaires pour remplacer les véhicules existants, notamment dans les pays les moins développés".
L'Association des constructeurs automobiles européens (ACEA) ne s'est pas encore prononcée sur ce sujet, elle souhaite d'abord "étudier attentivement le rapport". Sa porte-parole rappelle toutefois que "les véhicules Diesel modernes ont réduit de 99% leurs émissions de particules et que leurs technologies de pointe accompagnent les politiques de mobilité propre et durable". Elle souligne par ailleurs qu'"il serait important d'utiliser les solutions disponibles non seulement dans les économies développées, mais également dans le reste du monde".
Favorisées en France et dans de nombreux pays européens par une politique fiscale avantageuse sur le Diesel, les motorisations Diesel se sont fortement développées en Europe de l’Ouest. En 2011, le Diesel représentait environ 60% des immatriculations de véhicules neufs en Europe de l'Ouest et même 72% des immatriculations en France. Si la France est d’ailleurs exportatrice nette d’essence, elle importe en revanche 50% de ses besoins annuels en gazole pour répondre à la demande, nous a précisé l’Union Française de l’industrie Pétrolière (UFIP). La France est même le pays dans lequel le gazole est proportionnellement le plus consommé. Le gazole représente 80% de sa consommation annuelle de carburants, contre 32% aux Etats-Unis, 38% au Japon ou 60% en Allemagne.
Le Diesel en sursis? Les conclusions du CIRC pourraient-elles conduire à une interdiction des moteurs Diesel en Europe et plus particulièrement en France ? A court terme, vraisemblablement pas. "Les questions de santé - environnement seront une priorité de la ministre de l'Ecologie Nicole Bricq et la question du Diesel en fait partie; néanmoins les constructeurs ont renforcé leur offre dans ce domaine et il n'est pas question de mettre à mal toute une filière par des mesures d'urgence et des effets d'annonce. Nous allons donc conduire un travail de fonds sur ce dossier avec les ministres de la Santé et du Redressement productif", a déclaré à Autoactu.com une porte-parole du ministère de l'Ecologie.
Néanmoins, les études du CIRC pourraient accélérer ou durcir les projets de réglementations qui pèsent aujourd’hui comme une épée de Damoclès sur le Diesel. En France, les Zapa pourraient notamment se traduire par une exclusion des véhicules Diesel dans les centres-villes. En Europe, un projet de directive sur l’énergie conduirait à renchérir le Diesel en lui faisant perdre son avantage fiscal. Le Parlement européen s’est récemment farouchement opposé à ce projet en rappelant que les constructeurs européens avaient investi lourdement dans les motorisations Diesel. Les travaux des experts de l’OMS risquent néanmoins de rendre désormais insuffisant cet argument.

Emilie Binois


http://www.autoactu.com/

lundi, juin 4 2012

camp d'action anti-OTAN en Allemagne en septembre

Campagne de désobéissance civile : « La guerre commence ici »

Cette campagne menée depuis déjà plusieurs années par nos amis de l'Internationale des Résistants à la Guerre (WRI en Anglais Cf. http://wri-irg.org ), et à laquelle les désobéissants participent régulièrement, vise à rappeler au public européen que les guerres menées aux 4 coins de la planète sont bien souvent décidées, financées, armées et même directement menées depuis nos pays.
Marchands et fabricants d'armes, installations militaires, commandement de l'OTAN, banques et assurances liées au secteur de l'armement font ainsi l'objet d'actions de désobéissance civile qui attirent des militants pacifistes de toute l'Europe.
Du 12 au 17 septembre prochains, un camp d'action antimilitariste se tiendra en Allemagne, à proximité d'un immense centre d'entraînement au combat de l'OTAN : GÜZ (Gefechtsübungszentrum) Altmark.
C'est là que l'on apprend à envahir et soumettre un village d'Afghanistan, du Kosovo et où l'on s'entraînera demain à attaquer un aéroport, un métro, un centre commercial, des quartiers populaires, etc. : La construction d'une fausse ville dotée d'un métro, d'un aéroport et de toutes les dimensions d'une ville occidentale est en cours...
Pour préparer la répression des futures révoltes contre la troïka FMI / Commission Européenne et Banque Européenne, comme à l'encontre des habitants de Val di Susa en Italie ou les grévistes des raffineries françaises pendant la bataille des retraites, ou les contrôleurs du ciel en Espagne ?
C'est là, c'est-à-dire chez nous, que commencent les guerres qui accablent les pays pauvres (mais riches de leurs matières premières et de leurs hydrocarbures). C'est là que se prépare la militarisation de la répression de nos révoltes.
C'est donc là que nous les arrêteront.
Les désobéissants peuvent vous aider à financer votre voyage en covoiturage jusque là-bas. Merci de nous signaler votre intention de venir et votre région de départ, afin que nous puissions évaluer nos capacités d'organisation, et de le faire également sur notre forum dédié au covoiturage, sur http://www.desobeir.net.

Plus d'infos là : http://warstartsherecamp.org
banner War starts here-camp 12-17.09.2012 in der Altmark bei Hillersleben/Magdeburg.

Contact pour les désobéissants : Xavier : xavier@desobeir.net (mettre en sujet « Allemagne »)

"Surviving progress" diffusé mardi 5 juin sur Arte

Survivrons-nous au progrès ?

Armé des plus grands penseurs de l'écologie du XXIème siècle, ce documentaire diffusé mardi sur Arte jette une vision pessimiste sur la civilisation que l'homme a fondée et qu'il détruit à petit feu.

Crédit photo : survivingprogress

Derrière la vitre, une femelle chimpanzé déambule, son petit dans les pattes. Elle connaît parfaitement cette salle où les comportementalistes l’observent, à coup de cubes en bois à glisser dans des trous et de bananes en guise de cadeaux. Le spectateur épie son ancêtre comme s’il s’observait lui-même dans un miroir, mais des millions d’années plus tôt. Le singe sait que la caméra le scrute. Impassible, il toise l’objectif. Un regard curieux sur son descendant devenu intelligent. « Le seul être vivant à détruire son habitat », nuance la primatologue Jane Goodall.

À qui la faute ?
C’est la question que pose le documentaire de Mathieu Roy « Survivre au progrès », diffusé ce mardi 5 juin sur Arte et produit par Martin Scorsese. Le réalisateur de « La dernière tentation du Christ » serait-il resté imprégné de manichéisme ? Ronald Wright, auteur du best-seller Brève histoire du progrès, qui a inspiré le film, ouvre le bal. Pull sombre, regard austère et traits tirés, l’écrivain tranche : « Il y a le bon et le mauvais progrès. » Le noir, le blanc. Le bien, le mal. Le documentaire ressasse une vieille rengaine sur ce que l’homme et « la civilisation qu’il a fondée » vont devenir au rythme auquel nous consommons. « Nous », les deux milliards d’êtres humains qui vivons aisément et les cinq milliards d’autres qui y aspirent. Comme ce guide touristique chinois, Cheng Ming, qui se ravit de pouvoir enfin manger des tomates et des pastèques toute l’année, un luxe « inespéré il y a vingt ans ».

Exploitation outrancière des ressources
La tendance à vouloir plus, qui serait « notre nature », essouffle la planète. Le documentaire balaie les grandes problématiques : de la fabrique de la dette à la crise financière, de l’explosion démographique à l’exploitation outrancière des ressources. Illustré par des reportages autour du monde (Etats-Unis, Brésil, Afrique, Chine), « Survivre au progrès » laisse converser les grands penseurs de notre temps, l’écrivaine Margaret Atwood, le biologiste Craig Venter, le généticien David Suzuki et la ministre de l’Environnement brésilienne Marina Silva.
Un enchaînement de belles réflexions, parfois affolantes, mais qui n’explorent rien de nouveau. Heureusement, Mathieu Roy et Harold Crooks plongent la caméra derrière le rideau. En pointant du doigt la déforestation de l’Amazonie, les réalisateurs interrogent l’une des gardiennes du temple vert. Agent de la police environnementale, Raquel Taitson Queiroz traque les coupes de bois illégales. D’une scierie à l’autre, elle scrute les troncs. Les ouvriers ragent. Elle aussi, car avant elle croyait « pouvoir défendre ses principes ». Niet. Elle ne sert à rien, si ce n’est à sauver un hectare de la tronçonneuse de paysans qui veulent nourrir leurs familles. Sauf que les coupables ne sont pas là. Il faut les chercher « aux Etats-Unis », un symbole pour désigner l’étranger, le puissant à qui le Brésil brade ses richesses.

Notre cerveau incapable d’analyser la réalité à long terme ?
Le film assène que le mécanisme de notre planète devient irrationnel, déconnecté du concret et finalement incompréhensible. Même pour l’être le plus évolué de la planète. Si la nature se retourne contre nous, alors le progrès permis par l’intelligence humaine aura été une impasse. Comme si notre cerveau était parfaitement construit mais incapable d’analyser la réalité à long terme. A force de catastrophisme, ce refrain est gênant. Mais il est encore plus gênant de devoir l’égratigner alors qu’il s’appuie sur d’aussi grands personnages.

« Survivre au progrès »

un documentaire de 86 minutes réalisé par Mathieu Roy et Harold Crooks, produit par Martin Scorsese. Diffusion mardi 5 juin à 20h35 sur Arte.


mercredi, mai 30 2012

La croissance perpétuelle est-elle possible dans un monde fini ?

« Nous n’avons pas mis fin à la croissance, la nature va s’en charger »

La croissance perpétuelle est-elle possible dans un monde fini ? Il y a quarante ans déjà, Dennis Meadows et ses acolytes répondaient par la négative. Aujourd'hui, le chercheur lit dans la crise les premiers signes d'un effondrement du système.

Couverture du livre : Les limites de la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers, ed. Rue de l’échiquier, 425 pages, 25 euros. En 1972, dans un rapport commandé par le Club de Rome, des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT) publient un rapport intitulé « Les limites de la croissance ». Leur idée est simple : la croissance infinie dans un monde aux ressources limitées est impossible. Aussi, si les hommes ne mettent pas fin à leur quête de croissance eux-mêmes, la nature le fera-t-elle pour eux, sans prendre de gants.
En 2004, le texte est, pour la deuxième fois, remis à jour. Sa version française vient – enfin – d’être publiée aux éditions Rue de l’échiquier. En visite à Paris pour présenter l’ouvrage, Dennis Meadows, l’un des auteurs principaux, revient sur la pertinence de projections vieilles de quarante ans et commente la crise de la zone euro, la raréfaction des ressources et le changement climatique, premiers symptômes, selon lui, d’un effondrement du système.

  • Lire : Les limites de la croissance (dans un monde fini), Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers, ed. Rue de l’échiquier, 425 pages, 25 euros.
  • Voir l'interview réalisé par "Terra eco" : http://www.terraeco.net/Nous-n-avon...

mardi, mai 29 2012

Euro 2012 : Saviez-vous qu'en Ukraine, les chiens sont abattus par balle ou empoisonnés et laissés agonisants dans l’angoisse ?

Aidez PETA à arrêter l'abattage massif des chiens en Ukraine.jpg Saviez-vous qu'en Ukraine, les chiens sont abattus par balle ou empoisonnés et laissés agonisants dans l’angoisse ?
Regardez la nouvelle vidéo pour découvrir les cruautés choquantes faites aux animaux, et que le gouvernement ukrainien essaie de cacher au reste du monde.
Le championnat de football européen de 2012 va commencer le mois prochain, et les pays d'accueil, la Pologne et l'Ukraine, sont occupés à se préparer pour le tournoi. En Ukraine, cette préparation comprend la tentative barbare de purger les rues des animaux errants afin de maintenir la misère des chiens négligés et abandonnés hors de la vue du public.
Alors que la solution la plus simple au problème de surpopulation des animaux est de promouvoir des initiatives de stérilisation, en Ukraine les animaux errants sont attrapés et ensuite abattus par balle ou empoisonnés et jetés dans des charniers ou des crématoriums pour être brûlés.
PETA est déterminée à révéler au grand jour cette cruauté et à faire pression sur le gouvernement ukrainien pour stopper les tueries immédiatement et adopter des méthodes plus humaines pour remédier au problème de surpopulation des animaux. Vous pouvez nous aider à nous battre pour les animaux d'Ukraine et du monde entier en effectuant les actions suivantes :

  • Regardez la nouvelle vidéo révélatrice montrant les scènes choquantes qui ont lieu dans des rues d'Ukraine.
  • Passez le mot sur l'abattage des chiens en partageant la vidéo avec vos amis et votre famille.
  • Contactez l'ambassadeur ukrainien de France et pressez-le d'arrêter ces tueries cruelles immédiatement.

Des efforts se développent au niveau international pour arrêter la tuerie en Ukraine. Un certain nombre de joueurs de football ont rejoint PETA Allemagne pour tenir publiquement responsables les autorités ukrainiennes de la souffrance de ces chiens et pour exiger l'utilisation de méthodes humaines pour gérer la crise d'animaux abandonnés. Allez-vous défendre les chiens d'Ukraine et tous les animaux pour lesquels nous nous battons en faisant un don spécial dès maintenant ?
Les chiens abandonnés qui sont en train de se faire tuer en Ukraine ne sont pas bien différents des fidèles amis canins qui partagent nos foyers et ont la même capacité à ressentir l'amour, la peur et la douleur. Même l'UEFA (Union des Associations Européennes de Football), l'organisme à l'origine du championnat, a critiqué les autorités ukrainiennes pour le massacre. Après avoir été contacté par PETA Allemagne, l'UEFA a également proposé un soutien financier aux défenseurs des animaux pour des initiatives humaines de stérilisation dans le pays. A ce jour le gouvernement ukrainien n'a presque pas agi pour mettre fin à l'extermination massive. Nous ne pouvons laisser continuer ce massacre.

http://action.petafrance.com/ea-act...

PS: En Ukraine, les corps des chiens sont entassés dans des crematoriums et brûlés, et certains animaux sont même brûlés alors qu'ils sont encore vivants. On estime à 7 000 le nombre de chiens tués chaque mois uniquement dans la région de Donetsk. S'il vous plaît, joignez-vous à nous contre cette cruauté : regardez la vidéo et faites un don aujourd'hui pour soutenir le combat contre les maltraitances animales où qu'ils aient lieu et à tout moment.

dimanche, mai 20 2012

Une histoire triste de trop au World Dog Show

Sad story from WDS Salzburg too. In a car registrated in Belgique.
2 dogs are left without water in the heat. One dog died, the other, see picture , could be save in last minute.
Why can this happen ? I do not understand such owners. Every year during summer same bad story
Histoire triste de trop au Championnat du Monde de Beauté Canine à Salzbourg . Dans une voiture immatriculée en Belgique, 2 chiens sont laissés sans eau dans la chaleur. Un chien est mort, l'autre (voir photo) l'aurait été s'il n'avait pas été découvert à la dernière minute.
Comment est-ce possible? Je ne comprends pas ces propriétaires. Chaque année, durant l'été, il y a toujours ces mauvaises histoires.

Bei World Dog Show : Hunde trotz Hitze in Autos eingesperrt - ein Tier verendet - Foto: Markus Tschepp

Traduction : Joël Kuhlmann
Les résidents proches du Centre d'exposition de Salzbourg, où ce week-end environ 20.000 chiens sont attendu à l'Exposition Mondiale, ont appelés samedi la police à plusieurs reprises. Ils étaient inquiets parce que certains propriétaires de chiens ont laissés leurs animaux de compagnie dans leurs véhicules stationnés, alors qu'il faisait jusqu'à 29°C. L'un des deux chiens d'un belge n'a pas survécu à cette torture.

La vétérinaire Isolde Puchinger a entendu le sifflement de deux chiens qui ont été pris au piège dans leurs cages dans le coffre de la voiture immatriculée en Belgique et a donné l'alarme: "J'ai immédiatement appelé la police"
Tandis que les officiers se précipitaient dans la Aribonenstraße (à quelques centaines de mètre du WDS) à Salzburg, j'ai refroidi le véhicule avec de l'eau à partir d'un tuyau d'arrosage situé pas trop loin du véhicule. Le chef de la brigade canine Otmar Oberauner a cassé une fenêtre de la voiture avec sa main. Pour l'un des deux amis à quatre pattes, c'était déjà trop tard, l'autre chien (photo) est maintenant pris en charge pour les soins.
Le propriétaire du chien est arrivé au véhicule, selon le rapport de la police, après une heure et demie et ne pouvait pas croire l'incident. Les pompiers ont dû encore casser la vitre d'une autre voiture pour sauver un chien.

Beaucoup d'animaux sont pris au piège sans eau

Le fait que certains chiens en dépit de la chaleur de l'été ont été pris au piège dans les véhicules est pour les forces de l'ordre totalement incompréhensible, parce que c'étaient des propriétaires de chiens ou des éducateurs canins expérimentés. Dans la plupart des cas, pas d'eau ou juste un bol d'eau étaient présents. Les patrouilles de chiens policiers ont utilisés quasiment trois fois leur propre réserve d'eau pour étancher la soif des chiens touchés.
L'organisateur de l'exposition, le Kennel Club autrichien (ÖKV), fait appel à tous les propriétaires de chiens de ne pas laisser leurs animaux de compagnie dans les voitures pendant le spectacle: "Les températures estivales sont un piège mortel incroyablement rapide pour votre chien," répète-t-il.

jeudi, mai 3 2012

Communiqué de la FCI concernant la situation en Hongrie

COMMUNIQUE - COMMUNICATION - MITTEILUNG - COMUNICADO
03/05/2012

Étant donné la situation à laquelle est actuellement confronté notre membre en Hongrie, le MEOE, les membres de la FCI et son Comité Général souhaitent affirmer à nouveau leur soutien inconditionnel à notre membre de longue date, qui depuis 1933, partage notre merveilleuse existence.
Des discussions et des négociations avec les autorités politiques hongroises afin d’envisager l’avenir sont programmées mais nous désirons insister auprès de la communauté cynologique mondiale sur le fait que le MEOE peut compter sur notre appui et notre amitié indéfectibles.
logo Fédération Cynologique Internationale. H.W. Müller
Président de la FCI

http://www.fci.be/


Tekintettel a jelenlegi helyzetre, amivel magyarországi tagszervezetünk, a MEOE szembenéz, az FCI tagsága és az Elnöksége nevében ismételten teljes támogatásunkról biztosítjuk igen régi tagunkat, mely 1933 óta részese szervezetünk eredményes működésének.
Megbeszélések és tárgyalások folynak a magyar politikai szervezetekkel a jövőt illetően, azonban biztatni szeretnénk a világ kutyás közösségeit, hogy biztosítsák a MEOE-t feltétel nélküli támogatásukról és barátságukról.
H.W. Müller
az FCI Elnöke

Considering the current situation that our member in Hungary, MEOE, is facing, the FCI members and the FCI General Committee wish to reiterate their full support to our very long-standing member that has been sharing our wonderful existence since 1933.
Talks and negotiations will take place with the Hungarian political authorities to envisage the future but we want to insist to the world dog community that MEOE can count with our unconditioned support and friendship.

Bezugnehmend auf die Situation, mit der unser Mitgliedsverband MEOE (Magyar Ebtenyésztök Országos Egyesülete) zur Zeit in Ungarn konfrontiert ist, sagen sowohl der FCI-Vorstand als auch die FCI-Mitgliedsländer unserem langjährigen Mitglied (FCI-Mitglied seit 1933), ihre uneingeschränkte Unterstützung zu.
Gespräche und Verhandlungen mit den politischen Instanzen in Ungarn sind in Vorbereitung. Mit dieser Publikation geht es uns darum, die Kynologen in aller Welt wissen zu lassen, dass die MEOE auf unsere uneingeschränkte Unterstützung und Freundschaft zählen kann.

Dada la situación con la que se encuentra enfrentado nuestro miembro en Hungría, el MEOE, los miembros de la FCI y su Comité General desean volver a expresar su apoyo total a nuestro antiguo miembro, lo cual ha estado compartiendo nuestra existencia estupenda desde 1933.
Discusiones y negociaciones tendrán lugar con las autoridades políticas húngaras para contemplar el futuro pero queremos insistir e informar a la comunidad canina mundial que el MEOE cuenta con nuestra amistad y apoyo incondicionales.

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